Phil Vickery, capitaine d'un héroïque XV d'Angleterre qui a arraché à la France (14-9) une place en finale de Coupe du monde, après sa victoire contre l'Australie en 1/4 de finale, s'émerveillait sur ce sport, "parfois insensé", qui voit défier les plus grandes prédictions. Phil Vickery, capitaine d'un héroïque XV d'Angleterre qui a arraché à la France (14-9) une place en finale de Coupe du monde, après sa victoire contre l'Australie en 1/4 de finale, s'émerveillait sur ce sport, "parfois insensé", qui voit défier les plus grandes prédictions. Quel sentiment domine après ce deuxième exploit en une semaine ? "C'est un jour fantastique. Parfois en sport les choses sont insensées... Les plus grandes prédictions sont contredites, l'outsider se dresse. C'était un match de rugby fantastique entre deux équipes déterminées à gagner. Un effort énorme de toute l'équipe, quand quelqu'un manquait quelque chose, un plaquage, quelqu'un d'autre était là pour le rattraper. Et les joueurs qui sont rentrés ont tous eu un impact. Le sport, parfois, est un étrange animal". Une fois de plus c'est Jonny Wilkinson qui vous sort de prison, vous emmène en finale... "Que puis-je dire sur Jonny qui n'ait déjà été dit ? Les gens parlent de ses coups de pied, mais c'est l'ensemble de son jeu qui met toute l'équipe en confiance. Il a manqué quelques coups de pied et tirs au but, mais on lui en avait demandé des difficiles... Mais c'est un effort collectif, et à la fin c'est toute l'équipe qui travaille dur pour mettre Jonny en bonne position pour la pénalité et le drop. Et si vous devez vous fier à Jonny dans des moments-là, vous pouvez hypothéquer votre maison sans crainte, et il passe cela comme si c'était une promenade de dimanche après-midi !" Il y a quatre semaines, vous étiez écrasés par l'Afrique du Sud 36-0, aujourd'hui vous voilà en finale. Avec quel espoir ? "Le match contre l'Afrique du Sud était très, très dur à digérer pour tout le monde dans l'équipe, l'encadrement. Mais il nous fallait absolument rebondir, on était dos au mur. On a joué les Samoa, les Tonga comme des finales. On a réussi à se rendre dur à jouer pour l'adversaire. Et nous voilà en finale de Coupe du monde. Qui aurait dit, il y a trois semaines, que l'Angleterre y serait ? Il faut qu'on soit digne de la finale, qu'on se fasse justice. Et peu importe que ce soit l'Argentine ou l'Afrique du Sud, peu importe, c'est une finale de Coupe du monde. Je suis sûr que si c'est l'Afrique du Sud, on parlera beaucoup du match de septembre, mais je sais notre équipe endurcie au combat, les Sud-Africains le sauront aussi, et qui sait... ? Quel sentiment domine après ce deuxième exploit en une semaine ? "C'est un jour fantastique. Parfois en sport les choses sont insensées... Les plus grandes prédictions sont contredites, l'outsider se dresse. C'était un match de rugby fantastique entre deux équipes déterminées à gagner. Un effort énorme de toute l'équipe, quand quelqu'un manquait quelque chose, un plaquage, quelqu'un d'autre était là pour le rattraper. Et les joueurs qui sont rentrés ont tous eu un impact. Le sport, parfois, est un étrange animal". Une fois de plus c'est Jonny Wilkinson qui vous sort de prison, vous emmène en finale... "Que puis-je dire sur Jonny qui n'ait déjà été dit ? Les gens parlent de ses coups de pied, mais c'est l'ensemble de son jeu qui met toute l'équipe en confiance. Il a manqué quelques coups de pied et tirs au but, mais on lui en avait demandé des difficiles... Mais c'est un effort collectif, et à la fin c'est toute l'équipe qui travaille dur pour mettre Jonny en bonne position pour la pénalité et le drop. Et si vous devez vous fier à Jonny dans des moments-là, vous pouvez hypothéquer votre maison sans crainte, et il passe cela comme si c'était une promenade de dimanche après-midi !" Il y a quatre semaines, vous étiez écrasés par l'Afrique du Sud 36-0, aujourd'hui vous voilà en finale. Avec quel espoir ? "Le match contre l'Afrique du Sud était très, très dur à digérer pour tout le monde dans l'équipe, l'encadrement. Mais il nous fallait absolument rebondir, on était dos au mur. On a joué les Samoa, les Tonga comme des finales. On a réussi à se rendre dur à jouer pour l'adversaire. Et nous voilà en finale de Coupe du monde. Qui aurait dit, il y a trois semaines, que l'Angleterre y serait ? Il faut qu'on soit digne de la finale, qu'on se fasse justice. Et peu importe que ce soit l'Argentine ou l'Afrique du Sud, peu importe, c'est une finale de Coupe du monde. Je suis sûr que si c'est l'Afrique du Sud, on parlera beaucoup du match de septembre, mais je sais notre équipe endurcie au combat, les Sud-Africains le sauront aussi, et qui sait... ?