Il convient de signaler que l'Algérie a intégré, depuis 1963, les 187 pays adhérents à cette entité créée en 1923. C'est avec la participation du chef du Bureau national d'Interpol Algérie, M. Abed Ben Yamina et du chef du secrétariat général d'Interpol Moyen-Orient et Afrique du Nord, Houssem Abdellatif, que les journées d'études et d'informations sur l'organisation internationale de la police criminelle Interpol ont débuté hier à l'Institut national de la police criminelle de Saoula. Cette rencontre, selon le directeur de la police judiciaire, M. Rabah Ladj, «vise à raffermir les relations entre le Bureau national d'Interpol et l'organisation internationale de la police criminelle. Elle permet aux officiers de la police judiciaire de s'imprégner des missions et activités d'Interpol». Le directeur de la police judiciaire a également souligné que cette rencontre vise «à connaître les missions d'Interpol, ses attentes et ses objectifs». Il est à relever que la première journée, qui a vu la collaboration de magistrats, de douaniers et de gendarmes, a traité des mécanismes de transmission de l'information par le biais du Bureau national d'Interpol. Il y a lieu de préciser aussi que ces deux journées qui se dérouleront à huis clos, verront la participation d'éminents spécialistes et criminologues. Les deux responsables ont animé un point de presse en marge de cette rencontre et durant lequel ils ont mis en évidence la prédominance des affaires de blanchiment d'argent, de drogue et de terrorisme. En réponse à une question concernant le procès de Hassan Hattab, Rabah Ladj indiquera que «ce cas n'est plus du ressort de la police mais de celui de la justice», relevant par ailleurs que «le nom de Hattab figure sur une liste comprenant des terroriste d'envergure internationale». Dans sa lancée et à propos des échanges de renseignements, il a affirmé que «l'Algérie n'a, présentement, pas formulé de demandes de recherches concernant des terroristes», précisant que «seules des demandes concernant les délits de droit commun ont été enregistrées». L'affaire Khalifa a été également évoquée. A ce sujet, le directeur de la police judicaire a déclaré que «l'extradition de Abdelmoumene Khalifa est tributaire des intérêts communs de l'Algérie et de la Grande-Bretagne, signataires d'une convention bilatérale». Les deux responsables ont mis l'accent sur l'aboutissement des reformes de la justice ainsi que sur la nécessité, pour les magistrats, de recourir aux commissions rogatoires pour clore les dossiers en cours de traitement. Il est à signaler que parmi les 187 pays adhérents à Interpol, la France est le premier pays à verser dans une franche collaboration. Ainsi, 313, 460 et 452 dossiers ont été communément traités grâce aux renseignements émis de part et d'autres durant respectivement 2004, 2005 et 2006. Aujourd'hui, cette rencontre sera sanctionnée par des recommandations allant dans le sens du raffermissement des relations entre l'Algérie et les autres pays adhérents à Interpol. Il convient de signaler que l'Algérie a intégré, depuis 1963, les 187 pays adhérents à cette entité créée en 1923. C'est avec la participation du chef du Bureau national d'Interpol Algérie, M. Abed Ben Yamina et du chef du secrétariat général d'Interpol Moyen-Orient et Afrique du Nord, Houssem Abdellatif, que les journées d'études et d'informations sur l'organisation internationale de la police criminelle Interpol ont débuté hier à l'Institut national de la police criminelle de Saoula. Cette rencontre, selon le directeur de la police judiciaire, M. Rabah Ladj, «vise à raffermir les relations entre le Bureau national d'Interpol et l'organisation internationale de la police criminelle. Elle permet aux officiers de la police judiciaire de s'imprégner des missions et activités d'Interpol». Le directeur de la police judiciaire a également souligné que cette rencontre vise «à connaître les missions d'Interpol, ses attentes et ses objectifs». Il est à relever que la première journée, qui a vu la collaboration de magistrats, de douaniers et de gendarmes, a traité des mécanismes de transmission de l'information par le biais du Bureau national d'Interpol. Il y a lieu de préciser aussi que ces deux journées qui se dérouleront à huis clos, verront la participation d'éminents spécialistes et criminologues. Les deux responsables ont animé un point de presse en marge de cette rencontre et durant lequel ils ont mis en évidence la prédominance des affaires de blanchiment d'argent, de drogue et de terrorisme. En réponse à une question concernant le procès de Hassan Hattab, Rabah Ladj indiquera que «ce cas n'est plus du ressort de la police mais de celui de la justice», relevant par ailleurs que «le nom de Hattab figure sur une liste comprenant des terroriste d'envergure internationale». Dans sa lancée et à propos des échanges de renseignements, il a affirmé que «l'Algérie n'a, présentement, pas formulé de demandes de recherches concernant des terroristes», précisant que «seules des demandes concernant les délits de droit commun ont été enregistrées». L'affaire Khalifa a été également évoquée. A ce sujet, le directeur de la police judicaire a déclaré que «l'extradition de Abdelmoumene Khalifa est tributaire des intérêts communs de l'Algérie et de la Grande-Bretagne, signataires d'une convention bilatérale». Les deux responsables ont mis l'accent sur l'aboutissement des reformes de la justice ainsi que sur la nécessité, pour les magistrats, de recourir aux commissions rogatoires pour clore les dossiers en cours de traitement. Il est à signaler que parmi les 187 pays adhérents à Interpol, la France est le premier pays à verser dans une franche collaboration. Ainsi, 313, 460 et 452 dossiers ont été communément traités grâce aux renseignements émis de part et d'autres durant respectivement 2004, 2005 et 2006. Aujourd'hui, cette rencontre sera sanctionnée par des recommandations allant dans le sens du raffermissement des relations entre l'Algérie et les autres pays adhérents à Interpol.