Bouderbala Fateh alias Abdelfatah Abou Bassir, émir de la Seriat (cellule) d'Alger, accompagné de deux de ses acolytes, a été arrêté par les services de sécurité. Bouderbala Fateh alias Abdelfatah Abou Bassir, émir de la Seriat (cellule) d'Alger, accompagné de deux de ses acolytes, a été arrêté par les services de sécurité. Cette énième arrestation d'émirs aura pour conséquence l'isolement de Droudkel dont l'organisation est fragilisée par des dissensions. « Cet émir du GSPC, ainsi que les dénommés Mohamed K. et Fares K. qui l'accompagnaient, ont été neutralisés avec une célérité qui ne leur a pas permis d'utiliser les armes en leur possession », révèle une source sécuritaire qui ne donne aucune indication sur le lieu. Il est à rappeler que Bouderbala, présumé à la tête du clan activant à Lakhdaria, est l'un des émirs jouissant des privilèges et sollicitudes de Droudkel dit Abdelwadoud. Il a rejoint le maquis depuis, environ, 14 années. L'arrestation de ce dangereux émir du GSPC vient s'ajouter au tableau de chasse des forces de sécurité qui, faut-il le rappeler, ont réussi à éliminer d'importants chefs terroristes, à l'instar de Sayoud Samir alias Sofiane El Fassila et Hamzaoui Abdelhamid alias Abou Tourab. Il est à rappeler, également, que les mêmes services de sécurité ont, le 14 novembre dernier, éliminé Saâdaoui Abdelhamid alias Abou Yahia, un des importants chefs d'une phalange activant à la zone 2 et qui n'était autre que le responsable de liaison du GSPC évoluant sous la bannière d'Al Qaïda au Maghreb. Dès 2006, date à laquelle le GSPC se rallia à Al Qaïda au Maghreb, Droudkel avait procédé à un redéploiement au sein de son organisation. Saâdaoui avait été désigné pour être à la tête de la commission des relations extérieures en remplacement d'Abdelfatah Abou Bassir, désigné à la place de Bilal El Oulbani, de son vrai nom Saidi Ameur qui s'était rendu aux autorités. Il y a lieu de signaler que cette arrestation, opérée par les forces de sécurité, n'a été rendue possible que grâce aux renseignements fournis par les citoyens. Faut-il noter également que l'arrestation de l'émir Bouderbala s'est soldée par une saisie d'un lot d'armes, et 800 kilo grammes de matières explosives. Bouderbala a déclaré que cette quantité devait servir pour commettre des attentats durant le mois de Ramadhan. Mais il faut croire que le maillage sécuritaire a empêché l'entreprise terroriste de se concrétiser. 3 bombes amorcées et prêtes à l'usage, ainsi qu'une vingtaine de détonateurs et un lance-roquettes Low, ont également été découverts. Cela, en plus de 2 grands sacs remplis d'explosifs destinés, inévitablement, à des attentats. Il est à rappeler que lors de l'élimination de Saâdaoui, du matériel informatique a été saisi. Les informations et les données que renferment ces outils seront mises à profit par les différents services de sécurité pour le démantèlement de cette organisation tentaculaire. Le GSPC, actuellement en déconfiture, a pris naissance en 1998 après avoir supplanté les groupes du GIA, dirigés alors par l'émir Zitouni. D'abord cantonné dans une seule région du pays (la Kabylie), où il était relativement peu actif, il a acquis une notoriété internationale avec l'enlèvement d'une trentaine de touristes européens au Sahara, au premier semestre 2003. Depuis lors, il a multiplié attentats et actions armées dans le Nord du pays, ciblant principalement les forces de sécurité, puis des civils et des cibles étrangères, au point d'être considéré comme une menace majeure en Europe, par ses « réseaux dormants » prêts à perpétrer des attentats meurtriers. Une menace confirmée par le ralliement du GSPC à Al-Qaïda en septembre 2006 et sa transformation, en janvier 2007, en « Organisation d'Al-Qaïda au Pays du Maghreb islamique » (AQMI). Cette énième arrestation d'émirs aura pour conséquence l'isolement de Droudkel dont l'organisation est fragilisée par des dissensions. « Cet émir du GSPC, ainsi que les dénommés Mohamed K. et Fares K. qui l'accompagnaient, ont été neutralisés avec une célérité qui ne leur a pas permis d'utiliser les armes en leur possession », révèle une source sécuritaire qui ne donne aucune indication sur le lieu. Il est à rappeler que Bouderbala, présumé à la tête du clan activant à Lakhdaria, est l'un des émirs jouissant des privilèges et sollicitudes de Droudkel dit Abdelwadoud. Il a rejoint le maquis depuis, environ, 14 années. L'arrestation de ce dangereux émir du GSPC vient s'ajouter au tableau de chasse des forces de sécurité qui, faut-il le rappeler, ont réussi à éliminer d'importants chefs terroristes, à l'instar de Sayoud Samir alias Sofiane El Fassila et Hamzaoui Abdelhamid alias Abou Tourab. Il est à rappeler, également, que les mêmes services de sécurité ont, le 14 novembre dernier, éliminé Saâdaoui Abdelhamid alias Abou Yahia, un des importants chefs d'une phalange activant à la zone 2 et qui n'était autre que le responsable de liaison du GSPC évoluant sous la bannière d'Al Qaïda au Maghreb. Dès 2006, date à laquelle le GSPC se rallia à Al Qaïda au Maghreb, Droudkel avait procédé à un redéploiement au sein de son organisation. Saâdaoui avait été désigné pour être à la tête de la commission des relations extérieures en remplacement d'Abdelfatah Abou Bassir, désigné à la place de Bilal El Oulbani, de son vrai nom Saidi Ameur qui s'était rendu aux autorités. Il y a lieu de signaler que cette arrestation, opérée par les forces de sécurité, n'a été rendue possible que grâce aux renseignements fournis par les citoyens. Faut-il noter également que l'arrestation de l'émir Bouderbala s'est soldée par une saisie d'un lot d'armes, et 800 kilo grammes de matières explosives. Bouderbala a déclaré que cette quantité devait servir pour commettre des attentats durant le mois de Ramadhan. Mais il faut croire que le maillage sécuritaire a empêché l'entreprise terroriste de se concrétiser. 3 bombes amorcées et prêtes à l'usage, ainsi qu'une vingtaine de détonateurs et un lance-roquettes Low, ont également été découverts. Cela, en plus de 2 grands sacs remplis d'explosifs destinés, inévitablement, à des attentats. Il est à rappeler que lors de l'élimination de Saâdaoui, du matériel informatique a été saisi. Les informations et les données que renferment ces outils seront mises à profit par les différents services de sécurité pour le démantèlement de cette organisation tentaculaire. Le GSPC, actuellement en déconfiture, a pris naissance en 1998 après avoir supplanté les groupes du GIA, dirigés alors par l'émir Zitouni. D'abord cantonné dans une seule région du pays (la Kabylie), où il était relativement peu actif, il a acquis une notoriété internationale avec l'enlèvement d'une trentaine de touristes européens au Sahara, au premier semestre 2003. Depuis lors, il a multiplié attentats et actions armées dans le Nord du pays, ciblant principalement les forces de sécurité, puis des civils et des cibles étrangères, au point d'être considéré comme une menace majeure en Europe, par ses « réseaux dormants » prêts à perpétrer des attentats meurtriers. Une menace confirmée par le ralliement du GSPC à Al-Qaïda en septembre 2006 et sa transformation, en janvier 2007, en « Organisation d'Al-Qaïda au Pays du Maghreb islamique » (AQMI).