Répondant à la revendication des lycéens de ne tenir compte que des deux premiers trimestres dans les épreuves du baccalauréat, Benbouzid s'est montré intransigeant. Le baccalauréat est un diplôme international, ce qui exclut toute tentative «de marchandage». Répondant à la revendication des lycéens de ne tenir compte que des deux premiers trimestres dans les épreuves du baccalauréat, Benbouzid s'est montré intransigeant. Le baccalauréat est un diplôme international, ce qui exclut toute tentative «de marchandage». Le ministre de l‘Education nationale, M. Boubakeur Benbouzid, a déclaré hier qu‘il n‘y aura pas de deuxième session du baccalauréat et qu‘aucun changement ne sera apporté sur les programmes pédagogiques suivis. Il a insisté également pour dire que «les sujets du baccalauréat 2008 porteront uniquement sur les cours réellement dispensés au niveau national». Le ministre qui s‘est exprimé en marge d‘une rencontre tenue, à Alger, avec son homologue de l‘Habitat, sur la réalisation des infrastructures scolaires pour la prochaine rentrée 2008/2009, a clairement affirmé que le mouvement de grève et de protestation qui a marqué et qui marque encore le milieu scolaire n‘est que le fruit d‘une «manipulation programmée et bien planifiée par des groupes de personnes», sans en révéler l‘identité. Il a souligné qu‘actuellement «les choses ont repris leur cours normal», et que «dès aujourd‘hui, les élèves qui ne rejoignent pas leurs établissements seront considérés absents et sanctionnés par la suite avec la convocation de leurs parents». Répondant à la revendication des lycéens de ne tenir compte que des deux premiers trimestres dans les épreuves du baccalauréat, Benbouzid s‘est montré intransigeant. Le baccalauréat est un diplôme international avec une équivalence reconnue mondialement, ce qui exclut toute tentative «de marchandage» dans les programmes. Il ajoutera que «le baccalauréat, de par son importance, est un diplôme international, donc il faut garder sa crédibilité». Le ministre a tenu à relativiser l‘ampleur de la protesta des élèves de terminale en affirmant que «30 wilayas du pays non pas été touchées par ce mouvement de protestation», avouant tout de même que ces perturbations persistent encore dans certaines wilayas du pays, notamment à Alger, Tizi-Ouzou et Bejaia. Se voulant rassurant, Benbouzid a annoncé que désormais, un représentant des élèves ainsi que les enseignants responsables des matières feront partie des commissions d‘évaluation des programmes de chaque wilaya pour assurer l‘application des engagements. «Désormais, ce n‘est pas aux inspecteurs uniquement que revient la tâche d‘évaluer le niveau de réalisation des programmes, les élèves seront, eux aussi, partie prenante dans cette opération et je m‘engage personnellement à ce que tout s‘appliquera rigoureusement», dira le ministre. Le taux de réalisation des programmes pédagogiques n‘a «jamais atteint les 80% du programme. Pour l‘année précédente, le taux était de l‘ordre de 72%. actuellement, le taux moyen d‘avancement dans les programmes est estimé à 35% au niveau des 1.650 établissements que compte le pays» Le ministre de l‘Education nationale, M. Boubakeur Benbouzid, a déclaré hier qu‘il n‘y aura pas de deuxième session du baccalauréat et qu‘aucun changement ne sera apporté sur les programmes pédagogiques suivis. Il a insisté également pour dire que «les sujets du baccalauréat 2008 porteront uniquement sur les cours réellement dispensés au niveau national». Le ministre qui s‘est exprimé en marge d‘une rencontre tenue, à Alger, avec son homologue de l‘Habitat, sur la réalisation des infrastructures scolaires pour la prochaine rentrée 2008/2009, a clairement affirmé que le mouvement de grève et de protestation qui a marqué et qui marque encore le milieu scolaire n‘est que le fruit d‘une «manipulation programmée et bien planifiée par des groupes de personnes», sans en révéler l‘identité. Il a souligné qu‘actuellement «les choses ont repris leur cours normal», et que «dès aujourd‘hui, les élèves qui ne rejoignent pas leurs établissements seront considérés absents et sanctionnés par la suite avec la convocation de leurs parents». Répondant à la revendication des lycéens de ne tenir compte que des deux premiers trimestres dans les épreuves du baccalauréat, Benbouzid s‘est montré intransigeant. Le baccalauréat est un diplôme international avec une équivalence reconnue mondialement, ce qui exclut toute tentative «de marchandage» dans les programmes. Il ajoutera que «le baccalauréat, de par son importance, est un diplôme international, donc il faut garder sa crédibilité». Le ministre a tenu à relativiser l‘ampleur de la protesta des élèves de terminale en affirmant que «30 wilayas du pays non pas été touchées par ce mouvement de protestation», avouant tout de même que ces perturbations persistent encore dans certaines wilayas du pays, notamment à Alger, Tizi-Ouzou et Bejaia. Se voulant rassurant, Benbouzid a annoncé que désormais, un représentant des élèves ainsi que les enseignants responsables des matières feront partie des commissions d‘évaluation des programmes de chaque wilaya pour assurer l‘application des engagements. «Désormais, ce n‘est pas aux inspecteurs uniquement que revient la tâche d‘évaluer le niveau de réalisation des programmes, les élèves seront, eux aussi, partie prenante dans cette opération et je m‘engage personnellement à ce que tout s‘appliquera rigoureusement», dira le ministre. Le taux de réalisation des programmes pédagogiques n‘a «jamais atteint les 80% du programme. Pour l‘année précédente, le taux était de l‘ordre de 72%. actuellement, le taux moyen d‘avancement dans les programmes est estimé à 35% au niveau des 1.650 établissements que compte le pays»