Le ministre de la Solidarité nationale, M. Djamel Ould Abbas, a procédé, hier, à Alger, à l'installation d'un comité technique chargé de l'élaboration d'une carte sociale. Ce comité aura comme principal objectif, affirme le ministre, « la maîtrise des principaux indicateurs sociaux au niveau des wilayas et à l'échelle nationale ». Il procédera, également, « à l'identification des principales caractéristiques économiques et sociales des wilayas et du pays », ajoute-t-il. Outre ces deux objectifs, ce comité se chargera de déposer des données et d'indicateurs du secteur de la solidarité nationale permettant la mise en place de programmes sociaux. Le comité sera constitué par des représentants de plusieurs institutions d'Etat, notamment ceux des ministères tel que ceux de la Solidarité nationale, des Finances, de l'Intérieur et des Collectivités locales, de l'Environnement et de l'aménagement du territoire, de l'Education nationale, de la Santé et de l'Habitat. Outre les ministères, le comité sera également constitué de représentants issus de l'Office national des statistiques, de l'Organisation mondiale de la santé, du Centre de recherche en économie appliquée pour le développement et de l'Agence nationale de l'aménagement du territoire. Par ailleurs, le ministre de la Solidarité nationale a fait rappelé que l'Algérie a élaboré, auparavant, deux cartes sociales, la première effectuée en 2000 et la seconde en 2006. Basées sur des indicateurs d'ordres économique et sociale, ces deux enquêtes ont révélé, selon le ministre, que le taux de pauvreté en Algérie a pu régresser de 12,8% en 2000 à 5% en 2006. Au cours de cette période, 2000/2006, « l'Algérie a connu une amélioration ressentie dans de multiples secteurs, notamment dans l'éducation, la santé, l'agriculture et l'habitat». «L'élaboration de ces deux cartes sociales nous ont permis d'évaluer ces changements et de savoir exactement où se situent les avancées enregistrées dans chacun des secteurs ainsi que les efforts qui restent à fournir», a indiqué M. Ould Abbas, en ajoutant qu'au cours de cette période, l'Etat a déboursé prés de 89 milliards de dinars, mobilisés en faveur des personnes défavorisées, âgées, handicapés, femmes en détresse et enfants de la rue, classant ainsi l'Algérie parmi les pays dont la prise en charge des personnes défavorisées constitue une priorité absolue. Il faut savoir qu'actuellement 1.280 communes parmi les 1.541 réparties sur le territoire national souffrent de déficit financier, a annoncé le ministre. D'où l'intérêt de l'élaboration de cette nouvelle carte qui permettra l'utilisation des richesses du pays d'une manière rationnelle et plus équitable afin de combler le déficit de ces communes, ajoute-t-il. Le ministre de la Solidarité nationale, M. Djamel Ould Abbas, a procédé, hier, à Alger, à l'installation d'un comité technique chargé de l'élaboration d'une carte sociale. Ce comité aura comme principal objectif, affirme le ministre, « la maîtrise des principaux indicateurs sociaux au niveau des wilayas et à l'échelle nationale ». Il procédera, également, « à l'identification des principales caractéristiques économiques et sociales des wilayas et du pays », ajoute-t-il. Outre ces deux objectifs, ce comité se chargera de déposer des données et d'indicateurs du secteur de la solidarité nationale permettant la mise en place de programmes sociaux. Le comité sera constitué par des représentants de plusieurs institutions d'Etat, notamment ceux des ministères tel que ceux de la Solidarité nationale, des Finances, de l'Intérieur et des Collectivités locales, de l'Environnement et de l'aménagement du territoire, de l'Education nationale, de la Santé et de l'Habitat. Outre les ministères, le comité sera également constitué de représentants issus de l'Office national des statistiques, de l'Organisation mondiale de la santé, du Centre de recherche en économie appliquée pour le développement et de l'Agence nationale de l'aménagement du territoire. Par ailleurs, le ministre de la Solidarité nationale a fait rappelé que l'Algérie a élaboré, auparavant, deux cartes sociales, la première effectuée en 2000 et la seconde en 2006. Basées sur des indicateurs d'ordres économique et sociale, ces deux enquêtes ont révélé, selon le ministre, que le taux de pauvreté en Algérie a pu régresser de 12,8% en 2000 à 5% en 2006. Au cours de cette période, 2000/2006, « l'Algérie a connu une amélioration ressentie dans de multiples secteurs, notamment dans l'éducation, la santé, l'agriculture et l'habitat». «L'élaboration de ces deux cartes sociales nous ont permis d'évaluer ces changements et de savoir exactement où se situent les avancées enregistrées dans chacun des secteurs ainsi que les efforts qui restent à fournir», a indiqué M. Ould Abbas, en ajoutant qu'au cours de cette période, l'Etat a déboursé prés de 89 milliards de dinars, mobilisés en faveur des personnes défavorisées, âgées, handicapés, femmes en détresse et enfants de la rue, classant ainsi l'Algérie parmi les pays dont la prise en charge des personnes défavorisées constitue une priorité absolue. Il faut savoir qu'actuellement 1.280 communes parmi les 1.541 réparties sur le territoire national souffrent de déficit financier, a annoncé le ministre. D'où l'intérêt de l'élaboration de cette nouvelle carte qui permettra l'utilisation des richesses du pays d'une manière rationnelle et plus équitable afin de combler le déficit de ces communes, ajoute-t-il.