La communauté internationale doit assumer sa responsabilité dans ce processus et amener le Maroc à respecter le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. La communauté internationale doit assumer sa responsabilité dans ce processus et amener le Maroc à respecter le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. Les participants à la rencontre internationale sur la décolonisation du Sahara Occidental et la réunion de la Task force de la coordination européenne pour la solidarité avec le peuple sahraoui (EUCOCO), ont déclaré que « le manque de fermeté » de l'ONU empêche la décolonisation du Sahara Occidental, soulignant que la communauté internationale doit assumer sa responsabilité dans ce processus et amener le Maroc à respecter le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. Dénonçant l'intransigeance du Maroc, qui a fait échouer les différents rounds de négociations et qui « n'entretient aucun désir de respecter le droit international », les participants ont appelé la communauté européenne et l'Union africaine, ainsi que l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU, à exercer des pressions sur le Maroc pour une « stricte application » des résolutions du Conseil de Sécurité, préconisant dans ce cadre, l'organisation d'un référendum d'autodétermination au Sahara Occidental. Autrement dit, un appel au conseil de sécurité afin de passer du « chapitre 6 de la charte des Nations Unies, sur le Règlement pacifique des différends, au chapitre 7 consacré à l'Action en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix et d'acte d'agression". Estimant que le temps était venu d'user de contrainte contre le Maroc pour le pousser à se conformer à la légalité internationale si nécessaire, les participants ont considéré que « la crédibilité de l'Organisation est en jeu, tout comme la stabilité de l'Afrique du nord-est », ce qui doit inciter les Nations Unies à faire usage de plus de fermeté pour « faire appliquer leurs résolutions par le Maroc ». Prenant la parole, le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), Mahrez Lamari, a indiqué que son organisation « apportera tout son soutien à ce mouvement » afin de développer « un appui multiforme et performant au bénéfice de la cause sahraouie ». De son coté, Mohamed Sidati, ministre délégué sahraoui pour l'Europe, loue les efforts du peuple algérien qui « puise sa solidarité avec le peuple sahraoui de sa lutte héroïque pour son indépendance », déplorant le fait que le processus de négociations « n'avance pas à cause du Maroc », qui, a-t-il expliqué, « tente vainement de les détourner de leur finalité, à savoir l'exercice par le peuple sahraoui de son droit à l'autodétermination ». « Il est temps que les Nations unies mettent le doigt sur les raisons qui empêchent l'avancement du processus de négociations », a-t-il insisté. Intervenant à son tour, le président de la coordination européenne de solidarité avec le peuple sahraoui, Pierre Galand, pense que la construction du Maghreb passe par la « reconnaissance des droits du peuple sahraoui ». les représentants de Cuba du Venezuela, du Front populaire de libération de la palestine (FPLP), de l'Union panafricaine de la jeunesse ont, également, intervenu à cette occasion, pour réaffirmer la justesse de la cause sahraouie et leur solidarité avec le peuple du Sahara Occidental pour l'exercice de son droit à l'autodétermination. Ils ont en outre souligné la nécessité « d'offrir aux civils (Sahraouis) la protection à laquelle ils ont droit en temps de guerre, d'interdire formellement les atteintes aux droits de l'homme et l'exploitation des ressources naturelles du territoire occupé ». Les participants à la rencontre internationale sur la décolonisation du Sahara Occidental et la réunion de la Task force de la coordination européenne pour la solidarité avec le peuple sahraoui (EUCOCO), ont déclaré que « le manque de fermeté » de l'ONU empêche la décolonisation du Sahara Occidental, soulignant que la communauté internationale doit assumer sa responsabilité dans ce processus et amener le Maroc à respecter le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination et à l'indépendance. Dénonçant l'intransigeance du Maroc, qui a fait échouer les différents rounds de négociations et qui « n'entretient aucun désir de respecter le droit international », les participants ont appelé la communauté européenne et l'Union africaine, ainsi que l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU, à exercer des pressions sur le Maroc pour une « stricte application » des résolutions du Conseil de Sécurité, préconisant dans ce cadre, l'organisation d'un référendum d'autodétermination au Sahara Occidental. Autrement dit, un appel au conseil de sécurité afin de passer du « chapitre 6 de la charte des Nations Unies, sur le Règlement pacifique des différends, au chapitre 7 consacré à l'Action en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix et d'acte d'agression". Estimant que le temps était venu d'user de contrainte contre le Maroc pour le pousser à se conformer à la légalité internationale si nécessaire, les participants ont considéré que « la crédibilité de l'Organisation est en jeu, tout comme la stabilité de l'Afrique du nord-est », ce qui doit inciter les Nations Unies à faire usage de plus de fermeté pour « faire appliquer leurs résolutions par le Maroc ». Prenant la parole, le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), Mahrez Lamari, a indiqué que son organisation « apportera tout son soutien à ce mouvement » afin de développer « un appui multiforme et performant au bénéfice de la cause sahraouie ». De son coté, Mohamed Sidati, ministre délégué sahraoui pour l'Europe, loue les efforts du peuple algérien qui « puise sa solidarité avec le peuple sahraoui de sa lutte héroïque pour son indépendance », déplorant le fait que le processus de négociations « n'avance pas à cause du Maroc », qui, a-t-il expliqué, « tente vainement de les détourner de leur finalité, à savoir l'exercice par le peuple sahraoui de son droit à l'autodétermination ». « Il est temps que les Nations unies mettent le doigt sur les raisons qui empêchent l'avancement du processus de négociations », a-t-il insisté. Intervenant à son tour, le président de la coordination européenne de solidarité avec le peuple sahraoui, Pierre Galand, pense que la construction du Maghreb passe par la « reconnaissance des droits du peuple sahraoui ». les représentants de Cuba du Venezuela, du Front populaire de libération de la palestine (FPLP), de l'Union panafricaine de la jeunesse ont, également, intervenu à cette occasion, pour réaffirmer la justesse de la cause sahraouie et leur solidarité avec le peuple du Sahara Occidental pour l'exercice de son droit à l'autodétermination. Ils ont en outre souligné la nécessité « d'offrir aux civils (Sahraouis) la protection à laquelle ils ont droit en temps de guerre, d'interdire formellement les atteintes aux droits de l'homme et l'exploitation des ressources naturelles du territoire occupé ».