L'Algérie est au commencement d'un processus qui la place en 2017 dans une zone de libre échange avec l'Union européenne. Cela pour dire qu'il est temps d'appréhender à leur juste valeur nos jeunes diplômés, qui, eux seuls, seront en mesure de digérer le savoir-faire technique et scientifique et par la suite diriger les entreprises dans la voie des nouvelles réglementations pour la mise à niveau de nos installations industrielles. L'Algérie est au commencement d'un processus qui la place en 2017 dans une zone de libre échange avec l'Union européenne. Cela pour dire qu'il est temps d'appréhender à leur juste valeur nos jeunes diplômés, qui, eux seuls, seront en mesure de digérer le savoir-faire technique et scientifique et par la suite diriger les entreprises dans la voie des nouvelles réglementations pour la mise à niveau de nos installations industrielles. Quelle place pour les PME algériennes à la veille de l‘adhésion de l‘Algérie à l‘OMC ? Peut-on parler de l‘échec du processus de mise à niveau, sachant qu‘il existe plus de 200.000 PME en Algérie. Le ministre renvoie l‘ascenseur aux entreprises : "La mise à niveau est une démarche volontaire qui doit émaner des entrepreneurs", précise-t-il. Il affirme aussi que le programme Euro développement PME a connu un début d‘exécution difficile à cause notamment de la "méconnaissance" par les experts européens du contexte et des réalités de l‘entreprise algérienne. "Aujourd‘hui il faut reconnaître que ces experts se sont adaptés à l‘environnement de l‘entreprise." L‘autre obstacle est relatif au coût des opérations de mise à niveau qui décourage souvent les entreprises à ce processus. Afin d‘y remédier, le ministère trace sa stratégie et celles des ANDPME (Agence nationale de développement de la Petite et moyenne entreprise), pour développer un schéma d‘intervention intégré pour l‘accompagnement des efforts de mise à niveau des PME, s‘articulant autour des axes suivants : la promotion du partenariat et des réseaux des PME, le soutien aux structures d‘appui des PME, l‘instauration d‘une écoute permanente des PME, l‘adoption d‘une stratégie de communication et de proximité, la mise en place d‘une politique active de coopération et de partenariat et la participation et l‘implication accrue dans l‘amélioration de l‘environnement de la PME. Mais cela ne justifie rien pour Bendada, "les entreprises algériennes se trouvent confrontées à un dilemme, soit s‘adapter aux nouvelles exigences du marché, soit disparaître". Après cette mise en garde, l‘orateur a pris le soin de fixer "l‘alternative". "Il s‘agit, pour les entreprises, de s‘inscrire dans une démarche consensuelle entre les partenaires économiques et les pouvoirs publics" à travers la mise à niveau. Tout au long de cette dernière décennie, l‘environnement économique international a été marqué par des mutations profondes, rapides et complexes qui ont affecté les modes de production, de distribution et d‘organisation de tous les secteurs d‘activité économiques. Pour la cas de l‘Algérie, les efforts fournis pour son ancrage dans un espace économique global se sont matérialisés principalement par l‘entrée en vigueur en date du 01 septembre 2005 de l‘accord d‘association avec l‘Union européenne et les négociations en cours dans la perspectives de son accession à l‘Organisation mondiale du commerce (OMC). L‘Algérie est en effet au commencement d‘un processus qui la place en 2017 dans une zone de libre échange avec l‘Union européenne. Cela pour dire qu‘il est temps d‘appréhender à leur juste valeur nos jeunes diplômés, qui, eux seuls, seront en mesure de digérer le savoir-faire technique et scientifique et par la suite diriger les entreprises dans la voie des nouvelles réglementations pour la mise à niveau de nos installations industrielles. Les déboires de nos entreprises face aux nouvelles exigences liées aux aspects environnementaux, à la sécurité industrielle et la performance de nos produits sont certes, pour une grande partie, une affaire de grands moyens, mais le facteur humain y est pour beaucoup aussi. Les industriels des pays du sud de la Méditerranée vont devoir, à défaut d‘une certification de leurs produits, s‘inscrire dans une nouvelle perspective économique et environnementale caractérisée par une rude concurrence dans le bassin méditerranéen. La certification, dans le cadre des nouvelles normes internationales en vigueur, des entreprises constitue un passage inévitable. Le cas échéant, c‘est la faillite au bout du tunnel qui menace l‘infrastructure industrielle. D‘ici à 2017, la Méditerranée deviendra une zone de libre échange. Quelle place pour les PME algériennes à la veille de l‘adhésion de l‘Algérie à l‘OMC ? Peut-on parler de l‘échec du processus de mise à niveau, sachant qu‘il existe plus de 200.000 PME en Algérie. Le ministre renvoie l‘ascenseur aux entreprises : "La mise à niveau est une démarche volontaire qui doit émaner des entrepreneurs", précise-t-il. Il affirme aussi que le programme Euro développement PME a connu un début d‘exécution difficile à cause notamment de la "méconnaissance" par les experts européens du contexte et des réalités de l‘entreprise algérienne. "Aujourd‘hui il faut reconnaître que ces experts se sont adaptés à l‘environnement de l‘entreprise." L‘autre obstacle est relatif au coût des opérations de mise à niveau qui décourage souvent les entreprises à ce processus. Afin d‘y remédier, le ministère trace sa stratégie et celles des ANDPME (Agence nationale de développement de la Petite et moyenne entreprise), pour développer un schéma d‘intervention intégré pour l‘accompagnement des efforts de mise à niveau des PME, s‘articulant autour des axes suivants : la promotion du partenariat et des réseaux des PME, le soutien aux structures d‘appui des PME, l‘instauration d‘une écoute permanente des PME, l‘adoption d‘une stratégie de communication et de proximité, la mise en place d‘une politique active de coopération et de partenariat et la participation et l‘implication accrue dans l‘amélioration de l‘environnement de la PME. Mais cela ne justifie rien pour Bendada, "les entreprises algériennes se trouvent confrontées à un dilemme, soit s‘adapter aux nouvelles exigences du marché, soit disparaître". Après cette mise en garde, l‘orateur a pris le soin de fixer "l‘alternative". "Il s‘agit, pour les entreprises, de s‘inscrire dans une démarche consensuelle entre les partenaires économiques et les pouvoirs publics" à travers la mise à niveau. Tout au long de cette dernière décennie, l‘environnement économique international a été marqué par des mutations profondes, rapides et complexes qui ont affecté les modes de production, de distribution et d‘organisation de tous les secteurs d‘activité économiques. Pour la cas de l‘Algérie, les efforts fournis pour son ancrage dans un espace économique global se sont matérialisés principalement par l‘entrée en vigueur en date du 01 septembre 2005 de l‘accord d‘association avec l‘Union européenne et les négociations en cours dans la perspectives de son accession à l‘Organisation mondiale du commerce (OMC). L‘Algérie est en effet au commencement d‘un processus qui la place en 2017 dans une zone de libre échange avec l‘Union européenne. Cela pour dire qu‘il est temps d‘appréhender à leur juste valeur nos jeunes diplômés, qui, eux seuls, seront en mesure de digérer le savoir-faire technique et scientifique et par la suite diriger les entreprises dans la voie des nouvelles réglementations pour la mise à niveau de nos installations industrielles. Les déboires de nos entreprises face aux nouvelles exigences liées aux aspects environnementaux, à la sécurité industrielle et la performance de nos produits sont certes, pour une grande partie, une affaire de grands moyens, mais le facteur humain y est pour beaucoup aussi. Les industriels des pays du sud de la Méditerranée vont devoir, à défaut d‘une certification de leurs produits, s‘inscrire dans une nouvelle perspective économique et environnementale caractérisée par une rude concurrence dans le bassin méditerranéen. La certification, dans le cadre des nouvelles normes internationales en vigueur, des entreprises constitue un passage inévitable. Le cas échéant, c‘est la faillite au bout du tunnel qui menace l‘infrastructure industrielle. D‘ici à 2017, la Méditerranée deviendra une zone de libre échange.