L'ambassadeur américain en Algérie, Robert S. Ford, quittera le pays avant la fin du mois de juin, a-t-on appris de sources proches de l'ambassade US à Alger. La même source précise que ce changement intervient dans une conjoncture marquée par une amélioration constante des relations entre Alger et Washington. Ce diplomate, qui a fait partie de l'équipe de John Negroponte en Irak, a pris ses fonctions à Alger en juillet 2006. Robert S. Ford a occupé de juin 2004 à juin 2006 le poste de conseiller politique à l'ambassade US en Irak. Durant les années 1990, il était responsable de la section politique au niveau de la chancellerie américaine en Algérie. Il était connu pour sa maîtrise de la situation politique, économique et sociale algérienne et de toute la région. D'ailleurs, Il a travaillé dans plusieurs pays à l'instar du Maroc, de la Turquie, de l'Egypte et du Cameroun avant sa nomination en Irak. Sa maîtrise parfaite des langues arabe et française lui était un avantage dans l'exercice de ses fonctions. Il a, durant son exercice, donné un nouveau souffle à la dynamique de coopération en encourageant le développement des relations économiques et d'affaires hors hydrocarbures ainsi que dans d'autres secteurs. Selon les informations en notre possession, Robert S. Ford est sollicité pour se rendre en Irak pour reprendre ses fonctions sur demande de l'ambassadeur US en Irak qui l'a prié de le rejoindre. Il a été sollicité, a-t-on précisé, pour sa connaissance parfaite de la situation politique et sécuritaire qui prévaut en Irak ainsi que pour son expérience vu qu'il a déjà travaillé dans ce pays, a ajouté notre source. A souligner qu'aucune information concernant l'identité de son successeur n'a été communiquée ni par l'ambassade US ni par le ministère algérien des Affaires étrangères. Pour rappel, Robert S. Ford a fait l'objet de vives critiques, le mois de février passé, du gouvernement algérien, l'appelant à plus de réserve suite aux rencontres qu'il engageait tous les jours avec les partis de l'opposition, les membres de la société civile et les syndicats autonomes de la Fonction publique qui observaient, alors, des grèves répétitives. L'ambassadeur américain en Algérie, Robert S. Ford, quittera le pays avant la fin du mois de juin, a-t-on appris de sources proches de l'ambassade US à Alger. La même source précise que ce changement intervient dans une conjoncture marquée par une amélioration constante des relations entre Alger et Washington. Ce diplomate, qui a fait partie de l'équipe de John Negroponte en Irak, a pris ses fonctions à Alger en juillet 2006. Robert S. Ford a occupé de juin 2004 à juin 2006 le poste de conseiller politique à l'ambassade US en Irak. Durant les années 1990, il était responsable de la section politique au niveau de la chancellerie américaine en Algérie. Il était connu pour sa maîtrise de la situation politique, économique et sociale algérienne et de toute la région. D'ailleurs, Il a travaillé dans plusieurs pays à l'instar du Maroc, de la Turquie, de l'Egypte et du Cameroun avant sa nomination en Irak. Sa maîtrise parfaite des langues arabe et française lui était un avantage dans l'exercice de ses fonctions. Il a, durant son exercice, donné un nouveau souffle à la dynamique de coopération en encourageant le développement des relations économiques et d'affaires hors hydrocarbures ainsi que dans d'autres secteurs. Selon les informations en notre possession, Robert S. Ford est sollicité pour se rendre en Irak pour reprendre ses fonctions sur demande de l'ambassadeur US en Irak qui l'a prié de le rejoindre. Il a été sollicité, a-t-on précisé, pour sa connaissance parfaite de la situation politique et sécuritaire qui prévaut en Irak ainsi que pour son expérience vu qu'il a déjà travaillé dans ce pays, a ajouté notre source. A souligner qu'aucune information concernant l'identité de son successeur n'a été communiquée ni par l'ambassade US ni par le ministère algérien des Affaires étrangères. Pour rappel, Robert S. Ford a fait l'objet de vives critiques, le mois de février passé, du gouvernement algérien, l'appelant à plus de réserve suite aux rencontres qu'il engageait tous les jours avec les partis de l'opposition, les membres de la société civile et les syndicats autonomes de la Fonction publique qui observaient, alors, des grèves répétitives.