Questionnée sur les dangers de l'usage de la violence dans l'éducation des chérubins, Mme Z. Fatima, psychologue clinicienne, affirme que la violence n'a jamais été une méthode d'éducation. Au contraire, ce moyen traditionnel rétrograde ébranle la structure de l'enfant et le prédispose à développer des comportements violents. Par ailleurs, selon notre interlocutrice, la violence familiale, qu'elle soit physique, psychologique, sexuelle, isole les enfants, diminue leur estime personnelle, et entraîne chez certains d'entre eux des problèmes de dépression, voire des idées suicidaires. «Si elle fait d'eux des victimes, elle en fait aussi, dans certains cas, de futurs agresseurs qui, à leur tour, feront souffrir d'autres personnes. Et ce, surtout, quand cette violence est à l'origine de séquelles difficiles à surmonter». D'autre part, pour notre interlocutrice, la négligence est aussi une forme de violence très répandue. Celle-ci peut même blesser profondément de jeunes enfants livrés à eux-mêmes. Mme Z. Fatima trouve, par ailleurs, que les meilleurs procédés éducatifs sont le dialogue et la communication qui renforcent chez l'enfant sa confiance en soi. Elle déclare à ce titre que «les difficultés scolaires des enfants, leur agressivité, leur colère excessive, leur tendance au mensonge et au vol, sont en majorité attribués à la violence et à l'absence de dialogue au sein de la famille» En guise de conclusion, notre interlocutrice attire notre attention sur le fait que la violence peut avoir de graves répercussions sur le développement des enfants. Dans les cas les plus graves, elle peut causer leur mort ou leur infliger des blessures indélébiles. Aussi, elle peut aussi nuire à leur santé, diminuer leur capacité d'apprentissage, voire réduire leur volonté même d'aller à l'école. Elle peut inciter les enfants à fuir leur foyer, ce qui les expose à d'autres risques. A ce propos, il convient de signaler que la violence détruit la confiance des enfants en eux-mêmes et peut compromettre leur aptitude à être eux-mêmes plus tard de bons parents. «Les enfants victimes de la violence courent enfin un plus grand risque de dépression et d'envie de suicide dans leur vie future», conclut Mme Z. Fatima. Questionnée sur les dangers de l'usage de la violence dans l'éducation des chérubins, Mme Z. Fatima, psychologue clinicienne, affirme que la violence n'a jamais été une méthode d'éducation. Au contraire, ce moyen traditionnel rétrograde ébranle la structure de l'enfant et le prédispose à développer des comportements violents. Par ailleurs, selon notre interlocutrice, la violence familiale, qu'elle soit physique, psychologique, sexuelle, isole les enfants, diminue leur estime personnelle, et entraîne chez certains d'entre eux des problèmes de dépression, voire des idées suicidaires. «Si elle fait d'eux des victimes, elle en fait aussi, dans certains cas, de futurs agresseurs qui, à leur tour, feront souffrir d'autres personnes. Et ce, surtout, quand cette violence est à l'origine de séquelles difficiles à surmonter». D'autre part, pour notre interlocutrice, la négligence est aussi une forme de violence très répandue. Celle-ci peut même blesser profondément de jeunes enfants livrés à eux-mêmes. Mme Z. Fatima trouve, par ailleurs, que les meilleurs procédés éducatifs sont le dialogue et la communication qui renforcent chez l'enfant sa confiance en soi. Elle déclare à ce titre que «les difficultés scolaires des enfants, leur agressivité, leur colère excessive, leur tendance au mensonge et au vol, sont en majorité attribués à la violence et à l'absence de dialogue au sein de la famille» En guise de conclusion, notre interlocutrice attire notre attention sur le fait que la violence peut avoir de graves répercussions sur le développement des enfants. Dans les cas les plus graves, elle peut causer leur mort ou leur infliger des blessures indélébiles. Aussi, elle peut aussi nuire à leur santé, diminuer leur capacité d'apprentissage, voire réduire leur volonté même d'aller à l'école. Elle peut inciter les enfants à fuir leur foyer, ce qui les expose à d'autres risques. A ce propos, il convient de signaler que la violence détruit la confiance des enfants en eux-mêmes et peut compromettre leur aptitude à être eux-mêmes plus tard de bons parents. «Les enfants victimes de la violence courent enfin un plus grand risque de dépression et d'envie de suicide dans leur vie future», conclut Mme Z. Fatima.