Placé sous le mot d'ordre de «raconte-moi un livre», ce salon est une prière qui réconcilie les enfants avec la littérature. Les éditeurs et les auteurs ont déjà répondu présents à l'appel, puisque cette année accueille une forte production d'ouvrages consacrés à l‘enfance et à la jeunesse. Placé sous le mot d'ordre de «raconte-moi un livre», ce salon est une prière qui réconcilie les enfants avec la littérature. Les éditeurs et les auteurs ont déjà répondu présents à l'appel, puisque cette année accueille une forte production d'ouvrages consacrés à l‘enfance et à la jeunesse. Le coup de stater a été donné par le président Abdelaziz Bouteflika pour le plus important événement culturel de la rentrée. C‘est dire l‘importance qu‘attache le chef de l‘Etat au livre et à la promotion de la lecture en Algérie livre. On retiendra également cette mise au point très importante de M. Bouteflika : « On a mal interprété mes propos sur les sciences humaines ». Placé sous le mot d‘ordre de « raconte-moi un livre », ce salon est une prière qui réconcilie les « enfants avec la littérature », pour reprendre une expression de M Ahmed Boucenna, président du comité organisateur, pour qui les éditeurs et les auteurs ont déjà répondu présents à l‘appel, puisque cette année accueille une forte production d‘ouvrages consacrés à l‘enfance et à la jeunesse. Que peut-on transmettre de mieux aux générations futures, sinon justement le livre et l‘amour de lire. C‘est le meilleur compagnon qu puisse exister. Pouri le reste, et à côté des stands et des rencontres littéraires, des ventes dédicaces, il est bon de savoir qu‘un programme très riche a été tracé, faisant de ce salon une manifestation culturelle de premier plan. En feuilletant le livret qui a été édité à cet effet, on peut s‘apercevoir de l‘effort et du travail qui ont été consentis. Par exemple, dans la seule journée de mardi, à savoir aujourd‘hui, on peut assister à une rencontre consacrée à 60 ans d‘écriture féminine, animée par Nacera Belloula, journaliste, et Zineb Laouedj, poète. Des hommages seront rendus à Assia Djebbar, à Taos Amrouche, Yamina Mechakra, Ahlam Mostaghananmi. Au cours de la même journée, une autre rencontre posera cette question, ô combien pertinente : « Existe-t-il un littérature algérienne ? » Animée par Aicha Kessoul, Rachid Mokhtari, Mohamed sari, Fatima Bekhai, cette rencontre remontera loin dans le temps pour nous parler d‘Apulée de Madaure, de Mohamed Ben Sidi Ahmed ben chérif, de l‘émir Khaled, petit fils de l‘émir Abdelakader, et puis bien sûr, du point de départ de la littérature algérienne moderne, avec Reda Houhou, Mohamed laid El khalifa, Mouloud Mammeri, Mouloud Feraoun, Kateb Yacine, Mohamed Dib… Abdelhamid Hadjiat animera une rencontre sur Ibn el mouqafaa, Al Djahid et les Mille et une nuits. Au café littéraire du mercredi 29 octobre, une communication et un débat sur le livre de l‘enfance auront lieu avec Gustavo Martin Garzo. Quant à Latifa Lakhdar, maitre asistante à la faculté des sciences humaines de Tunis, elle nous parlera des lectures émancipatrices en islam. On n‘oubliera pas l‘hommage qui sera rendu au grand poète palestinien Mahmoud Darwich. Le chant de ce poète engagé pleure la patrie perdue et chante l‘espoir. Ses œuvres ont été traduites dans au moins 22 langues, c‘est dire son envergure universelle. En fin d‘après midi du mercredi, on fera connaissance avec Mandla Langa, l‘exil et la liberté, élu président du congrès des écrivains sud-africains et président de l‘autorité indépendante de l‘audiovisuel. Ah ! Que dire des tags dans les rues d‘Alger ? C‘est la réponse qu‘on pourra avoir le jeudi 30 octobre au café littéraire, en compagnie de Fatima Oussedik. « Pour un sociologue, nous dit-on, lire les graffitis sur un mur est une formidable aubaine ». Quant à Kebir Ammi Mustapha, auteur né au Maroc, d‘un père algérien et d‘une mère marocaine, il a écrit des livres qui évoquent la mémoire ancestrale. Stefan Widane, auteur allemand, fera le récit d‘une découverte, celle de la littérature orientale comparative. Houari Touati nous entretiendra en fin d‘après midi sur l‘humanisme arabe classique. Enfin, la soirée du jeudi sera marqué par la cérémonie d‘attribution des prix littéraires du Sila ; en arabe, français et tamazight, dans les catégories suivantes : roman, livres pour enfants, ouvrages sur le patrimoine. Vendredi verra Youssef Seddik, se mettre sur les traces des Arabes et de l‘Islam. Il fera défiler pour nous des noms aussi illustres que ceux de Tarik Ibn Zyad, Salah Eddine, Ishaq Ibn Huneyn. On ne manquera pas de suivre de près la conférence de presse de Ahmed Djabbar, chercheur en mathématiques et ancien ministre sur les sciences et le savoir dans l‘islam médiéval. Des sujets tout aussi pertinents seront abordés tout au long du salon : le quotidien des moudjahidine dans les geôles coloniales, un débat sur le 1er novembre, l‘enfance sans enfance, avec Laura Alcoba, les enfants dans les conflits, avec Juliana Sgrena, le Maghreb des écrivains, Driss Chraibi et Mohamed Dib, le monde arabe dans la littérature italienne pour les jeunes, une rencontre avec Yasmina Khadra, les classiques de la littérature universelle… Tout un florilège. R. M. Le coup de stater a été donné par le président Abdelaziz Bouteflika pour le plus important événement culturel de la rentrée. C‘est dire l‘importance qu‘attache le chef de l‘Etat au livre et à la promotion de la lecture en Algérie livre. On retiendra également cette mise au point très importante de M. Bouteflika : « On a mal interprété mes propos sur les sciences humaines ». Placé sous le mot d‘ordre de « raconte-moi un livre », ce salon est une prière qui réconcilie les « enfants avec la littérature », pour reprendre une expression de M Ahmed Boucenna, président du comité organisateur, pour qui les éditeurs et les auteurs ont déjà répondu présents à l‘appel, puisque cette année accueille une forte production d‘ouvrages consacrés à l‘enfance et à la jeunesse. Que peut-on transmettre de mieux aux générations futures, sinon justement le livre et l‘amour de lire. C‘est le meilleur compagnon qu puisse exister. Pouri le reste, et à côté des stands et des rencontres littéraires, des ventes dédicaces, il est bon de savoir qu‘un programme très riche a été tracé, faisant de ce salon une manifestation culturelle de premier plan. En feuilletant le livret qui a été édité à cet effet, on peut s‘apercevoir de l‘effort et du travail qui ont été consentis. Par exemple, dans la seule journée de mardi, à savoir aujourd‘hui, on peut assister à une rencontre consacrée à 60 ans d‘écriture féminine, animée par Nacera Belloula, journaliste, et Zineb Laouedj, poète. Des hommages seront rendus à Assia Djebbar, à Taos Amrouche, Yamina Mechakra, Ahlam Mostaghananmi. Au cours de la même journée, une autre rencontre posera cette question, ô combien pertinente : « Existe-t-il un littérature algérienne ? » Animée par Aicha Kessoul, Rachid Mokhtari, Mohamed sari, Fatima Bekhai, cette rencontre remontera loin dans le temps pour nous parler d‘Apulée de Madaure, de Mohamed Ben Sidi Ahmed ben chérif, de l‘émir Khaled, petit fils de l‘émir Abdelakader, et puis bien sûr, du point de départ de la littérature algérienne moderne, avec Reda Houhou, Mohamed laid El khalifa, Mouloud Mammeri, Mouloud Feraoun, Kateb Yacine, Mohamed Dib… Abdelhamid Hadjiat animera une rencontre sur Ibn el mouqafaa, Al Djahid et les Mille et une nuits. Au café littéraire du mercredi 29 octobre, une communication et un débat sur le livre de l‘enfance auront lieu avec Gustavo Martin Garzo. Quant à Latifa Lakhdar, maitre asistante à la faculté des sciences humaines de Tunis, elle nous parlera des lectures émancipatrices en islam. On n‘oubliera pas l‘hommage qui sera rendu au grand poète palestinien Mahmoud Darwich. Le chant de ce poète engagé pleure la patrie perdue et chante l‘espoir. Ses œuvres ont été traduites dans au moins 22 langues, c‘est dire son envergure universelle. En fin d‘après midi du mercredi, on fera connaissance avec Mandla Langa, l‘exil et la liberté, élu président du congrès des écrivains sud-africains et président de l‘autorité indépendante de l‘audiovisuel. Ah ! Que dire des tags dans les rues d‘Alger ? C‘est la réponse qu‘on pourra avoir le jeudi 30 octobre au café littéraire, en compagnie de Fatima Oussedik. « Pour un sociologue, nous dit-on, lire les graffitis sur un mur est une formidable aubaine ». Quant à Kebir Ammi Mustapha, auteur né au Maroc, d‘un père algérien et d‘une mère marocaine, il a écrit des livres qui évoquent la mémoire ancestrale. Stefan Widane, auteur allemand, fera le récit d‘une découverte, celle de la littérature orientale comparative. Houari Touati nous entretiendra en fin d‘après midi sur l‘humanisme arabe classique. Enfin, la soirée du jeudi sera marqué par la cérémonie d‘attribution des prix littéraires du Sila ; en arabe, français et tamazight, dans les catégories suivantes : roman, livres pour enfants, ouvrages sur le patrimoine. Vendredi verra Youssef Seddik, se mettre sur les traces des Arabes et de l‘Islam. Il fera défiler pour nous des noms aussi illustres que ceux de Tarik Ibn Zyad, Salah Eddine, Ishaq Ibn Huneyn. On ne manquera pas de suivre de près la conférence de presse de Ahmed Djabbar, chercheur en mathématiques et ancien ministre sur les sciences et le savoir dans l‘islam médiéval. Des sujets tout aussi pertinents seront abordés tout au long du salon : le quotidien des moudjahidine dans les geôles coloniales, un débat sur le 1er novembre, l‘enfance sans enfance, avec Laura Alcoba, les enfants dans les conflits, avec Juliana Sgrena, le Maghreb des écrivains, Driss Chraibi et Mohamed Dib, le monde arabe dans la littérature italienne pour les jeunes, une rencontre avec Yasmina Khadra, les classiques de la littérature universelle… Tout un florilège. R. M.