Les parlementaires des trois partis de l'Alliance présidentielle feront bloc lors de la présentation et du vote du projet de révision de la Constitution. Les parlementaires des trois partis de l'Alliance présidentielle feront bloc lors de la présentation et du vote du projet de révision de la Constitution. Ce projet sera en effet soumis aujourd'hui aux parlementaires des deux chambres, réunis en congrès au palais des nations à club des pins. «L'alliance présidentielle est un rempart solide qui soutient la démarche du président de la République » a indiqué, hier, Miloud Chorfi, président du groupe parlementaire du RND (rassemblement national démocratique) à l'APN, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse animée conjointement avec ses alliés dans ce groupe politique, à savoir le FLN et le MSP. Pour lui « les amendements introduits au texte fondamental ont une profonde signification comme c'est le cas pour la défense et la sacralisation des symboles de la glorieuse révolution » a-t-il poursuivi. Dans la mouture proposée par le chef de l'Etat, l'emblème national et l'hymne national sont considérés comme des « conquêtes de la Révolution du 1er Novembre 1954 et sont immuables ». Miloud Chorfi, qui assume également la fonction de porte-parole de la formation politique que dirige le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, considère que l'amendement apporté en vue de la promotion des droits politiques de la femme par l'augmentation de « ses chances d'accès à la représentation dans les assemblées élues » est un gage supplémentaire quant à la consolidation de la place de la femme dans la société. Chorfi a soutenu devant un parterre de journalistes que les parlementaires de l'alliance ne peuvent que « renouveler leur attachement à tout ce qui sert l'intérêt national et ce, en appui à la démarche entreprise par le Président de la République pour conforter la stabilité des institutions » . Prenant le relais, Layachi Daadoua, président du groupe parlementaire du FLN à l'APN, a pratiquement abondé dans la même veine en déclarant, de go, que « l'alliance présidentielle se porte bien » avant d'ajouter que « la révision de la constitution est un important événement car c'est un projet qui détermine et précise les missions des institutions de l'Etat algérien et trace aussi les orientations et les tendances ». Selon le conférencier cette révision de la loi fondamentale est devenue indispensable du fait que l'Algérie évolue dans un environnement en constante mutation. Layachi Daadoua estime qu'il est aussi indispensable d'élaborer un texte de loi qui criminalise tous ceux qui portent atteinte aux symboles de la révolution algérienne. Sans doute que le chef du groupe parlementaire du FLN à l'APN fait allusion à la « violente polémique » qui a opposé le député du RCD, Nouredine Ait Hamouda qui a mis en doute les chiffres relatifs au nombre des martyrs et les animateurs du courant dit nationaliste ainsi que les représentants de la « famille révolutionnaire ». De son coté Belkaid Abdelaziz, vice-président du groupe parlementaire du MSP, a réitéré le soutien de son parti au projet de révision de la constitution et a rappelé, dans ce cadre, que la plus haute instance du parti entre deux congrès, à savoir le conseil consultatif, a déjà exprimé son soutien au projet du chef de l'Etat. Les trois animateurs de la conférence de presse, qui ont déclaré que le sommet de l'alliance présidentielle pourrait se tenir dans les semaines à venir, ont fait preuve de leur unité et de leur détermination à faire en sorte que la séance d'aujourd'hui fera date dans les annales de l'histoire du système politique national en se présentant en rangs serrés pour faire passer le projet qui aura besoin des voix des parlementaires. A. S. Ce projet sera en effet soumis aujourd'hui aux parlementaires des deux chambres, réunis en congrès au palais des nations à club des pins. «L'alliance présidentielle est un rempart solide qui soutient la démarche du président de la République » a indiqué, hier, Miloud Chorfi, président du groupe parlementaire du RND (rassemblement national démocratique) à l'APN, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse animée conjointement avec ses alliés dans ce groupe politique, à savoir le FLN et le MSP. Pour lui « les amendements introduits au texte fondamental ont une profonde signification comme c'est le cas pour la défense et la sacralisation des symboles de la glorieuse révolution » a-t-il poursuivi. Dans la mouture proposée par le chef de l'Etat, l'emblème national et l'hymne national sont considérés comme des « conquêtes de la Révolution du 1er Novembre 1954 et sont immuables ». Miloud Chorfi, qui assume également la fonction de porte-parole de la formation politique que dirige le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, considère que l'amendement apporté en vue de la promotion des droits politiques de la femme par l'augmentation de « ses chances d'accès à la représentation dans les assemblées élues » est un gage supplémentaire quant à la consolidation de la place de la femme dans la société. Chorfi a soutenu devant un parterre de journalistes que les parlementaires de l'alliance ne peuvent que « renouveler leur attachement à tout ce qui sert l'intérêt national et ce, en appui à la démarche entreprise par le Président de la République pour conforter la stabilité des institutions » . Prenant le relais, Layachi Daadoua, président du groupe parlementaire du FLN à l'APN, a pratiquement abondé dans la même veine en déclarant, de go, que « l'alliance présidentielle se porte bien » avant d'ajouter que « la révision de la constitution est un important événement car c'est un projet qui détermine et précise les missions des institutions de l'Etat algérien et trace aussi les orientations et les tendances ». Selon le conférencier cette révision de la loi fondamentale est devenue indispensable du fait que l'Algérie évolue dans un environnement en constante mutation. Layachi Daadoua estime qu'il est aussi indispensable d'élaborer un texte de loi qui criminalise tous ceux qui portent atteinte aux symboles de la révolution algérienne. Sans doute que le chef du groupe parlementaire du FLN à l'APN fait allusion à la « violente polémique » qui a opposé le député du RCD, Nouredine Ait Hamouda qui a mis en doute les chiffres relatifs au nombre des martyrs et les animateurs du courant dit nationaliste ainsi que les représentants de la « famille révolutionnaire ». De son coté Belkaid Abdelaziz, vice-président du groupe parlementaire du MSP, a réitéré le soutien de son parti au projet de révision de la constitution et a rappelé, dans ce cadre, que la plus haute instance du parti entre deux congrès, à savoir le conseil consultatif, a déjà exprimé son soutien au projet du chef de l'Etat. Les trois animateurs de la conférence de presse, qui ont déclaré que le sommet de l'alliance présidentielle pourrait se tenir dans les semaines à venir, ont fait preuve de leur unité et de leur détermination à faire en sorte que la séance d'aujourd'hui fera date dans les annales de l'histoire du système politique national en se présentant en rangs serrés pour faire passer le projet qui aura besoin des voix des parlementaires. A. S.