Le limogeage «spectaculaire» de l'entraîneur franco-serbe du CSC continue de défrayer la chronique constantinoise. La majorité des bruyants supporters du vieux club constantinois ne comprennent pas vraiment les véritables raisons de cette inattendue «mise à la porte»; même si le président Mourad Mazar s'efforce à aligner tous les arguments de son côté afin de prouver à l'opinion sportive que sa décision est juste. Devant une assemblée générale constituée de dirigeants et supporters triés au volet qui a eu lieu jeudi, le président du CSC ne s'est pas fait prier pour brosser un tableau tout à fait négatif de Darko-Daniel Janackovic. C'est donc après plus de quatre mois que Mourad Mazar découvre que son entraîneur avait tous les défauts du monde. Généralement, on limoge un entraîneur pour mauvais résultats, alors que ce n'est pas le cas au CSC qui, selon l'avis des constantinois, le coach a fait jusque là un bon parcours. Y'a-t-il donc d'autres raisons pour expliquer ce « coup de théâtre » qui vient de secouer la quiétude des milliers de sanafirs ? Mazar reproche publiquement à l'entraîneur son soit disant comportement dévergondé en dehors du terrain. « Mon diplôme est mille fois meilleur que celui de Daniel que les gens adorent » ça y est le mot est jeté. Car en vérité l'entraîneur franco-serbe a gagné durant une courte période, une popularité qui commence à déranger certains. Pourquoi Mazar a-t-il attendu tout ce temps pour constater que son entraîneur n'avait pas de grands bagages techniques et il n'était qu'un simple traducteur ? Il lui reproche d'être entré en contrat avec d'autres clubs. On suppose que c'est vrai, mais n'y a-t-il pas de contrat qui le liait au CSC ? Visiblement dominé par la colère, Mazar s'est-il laissé trahir par un lapsus en déclarant que le CSC est dirigé à partir de Lyon ! C'est fort possible, car il s'agit d'un aveu lourd de conséquences pour quelqu'un qui veut « aller loin ». C'est connu à Constantine, le CSC mobilise mieux que l'ensemble des partis politiques ; et cela Mazar le sait…… Faire une fixation sur la vie privée de l'entraîneur franco-serbe parait comme une maladresse. En deux ans le CSC n'a gagné aucun match à l'extérieur. Pour cette année, il y a eu des victoires et l'équipe est apparue assez solide hors de ses bases. Selon Mazar, serait-ce le travail fourni uniquement par l'adjoint de Daniel qui a amené ce résultat ? Si c'est le cas, où était-il avant de se rendre compte de cette situation ? Daniel de son côté affirme que pendant la période où Mazar était en France, il n'y a eu aucun problème au CSC et l'équipe a continué à évoluer le plus normalement du monde. « Je ne suis pas payé régulièrement comme le stipule le contrat. Je ne peux pas faire de sentiments là-dessus… ». Toujours est il que l'affaire Daniel n'a pas encore livré tous ses secrets malgré le forcing des dirigeants qui veulent la placer au niveau disciplinaire… A propos du C.V « super léger » de Daniel, on ne peut que s'interroger pourquoi un entraîneur qui n'en serait pas un est-il sollicité par plusieurs clubs même de l'étranger ? Mazar a-t-il une réponse ? Sollicité par le MOC Darko-Daniel refuse catégoriquement de rejoindre le Mouloudia de Constantine pour une simple raison : son amour indescriptible des supporters de CSC « je ne pourrais jamais trahir les supporters qui m'ont encouragé et qui m'ont beaucoup respecté. J'ai des frissons à chaque fois que je les rencontre dans les stades ou dans la rue. Le public du CSC est très spécial. Il est original sur tous les plans et je suis fier d'avoir gagner la confiance d'un public très exigent comme celui du CSC », nous confie Daniel qui détient parmi ses document le gain du dernier derby constantinois « Je garderai précieusement ce bien car ce derby m'a beaucoup marqué. Les supporters qui crient lors de chaque victoire Daniel Daniel restera pour l'éternité graver dans ma mémoire», nous révèle l'entraîneur franco-serbe. Darko-Daniel Janackovic nous fait part des ses projets et nous affirme « je sui un entraîneur de première division. Si je serai appelé à rester en Algérie c'est pour entraîner une équipe de la nationale une» confirme t-il. K. B. Le limogeage «spectaculaire» de l'entraîneur franco-serbe du CSC continue de défrayer la chronique constantinoise. La majorité des bruyants supporters du vieux club constantinois ne comprennent pas vraiment les véritables raisons de cette inattendue «mise à la porte»; même si le président Mourad Mazar s'efforce à aligner tous les arguments de son côté afin de prouver à l'opinion sportive que sa décision est juste. Devant une assemblée générale constituée de dirigeants et supporters triés au volet qui a eu lieu jeudi, le président du CSC ne s'est pas fait prier pour brosser un tableau tout à fait négatif de Darko-Daniel Janackovic. C'est donc après plus de quatre mois que Mourad Mazar découvre que son entraîneur avait tous les défauts du monde. Généralement, on limoge un entraîneur pour mauvais résultats, alors que ce n'est pas le cas au CSC qui, selon l'avis des constantinois, le coach a fait jusque là un bon parcours. Y'a-t-il donc d'autres raisons pour expliquer ce « coup de théâtre » qui vient de secouer la quiétude des milliers de sanafirs ? Mazar reproche publiquement à l'entraîneur son soit disant comportement dévergondé en dehors du terrain. « Mon diplôme est mille fois meilleur que celui de Daniel que les gens adorent » ça y est le mot est jeté. Car en vérité l'entraîneur franco-serbe a gagné durant une courte période, une popularité qui commence à déranger certains. Pourquoi Mazar a-t-il attendu tout ce temps pour constater que son entraîneur n'avait pas de grands bagages techniques et il n'était qu'un simple traducteur ? Il lui reproche d'être entré en contrat avec d'autres clubs. On suppose que c'est vrai, mais n'y a-t-il pas de contrat qui le liait au CSC ? Visiblement dominé par la colère, Mazar s'est-il laissé trahir par un lapsus en déclarant que le CSC est dirigé à partir de Lyon ! C'est fort possible, car il s'agit d'un aveu lourd de conséquences pour quelqu'un qui veut « aller loin ». C'est connu à Constantine, le CSC mobilise mieux que l'ensemble des partis politiques ; et cela Mazar le sait…… Faire une fixation sur la vie privée de l'entraîneur franco-serbe parait comme une maladresse. En deux ans le CSC n'a gagné aucun match à l'extérieur. Pour cette année, il y a eu des victoires et l'équipe est apparue assez solide hors de ses bases. Selon Mazar, serait-ce le travail fourni uniquement par l'adjoint de Daniel qui a amené ce résultat ? Si c'est le cas, où était-il avant de se rendre compte de cette situation ? Daniel de son côté affirme que pendant la période où Mazar était en France, il n'y a eu aucun problème au CSC et l'équipe a continué à évoluer le plus normalement du monde. « Je ne suis pas payé régulièrement comme le stipule le contrat. Je ne peux pas faire de sentiments là-dessus… ». Toujours est il que l'affaire Daniel n'a pas encore livré tous ses secrets malgré le forcing des dirigeants qui veulent la placer au niveau disciplinaire… A propos du C.V « super léger » de Daniel, on ne peut que s'interroger pourquoi un entraîneur qui n'en serait pas un est-il sollicité par plusieurs clubs même de l'étranger ? Mazar a-t-il une réponse ? Sollicité par le MOC Darko-Daniel refuse catégoriquement de rejoindre le Mouloudia de Constantine pour une simple raison : son amour indescriptible des supporters de CSC « je ne pourrais jamais trahir les supporters qui m'ont encouragé et qui m'ont beaucoup respecté. J'ai des frissons à chaque fois que je les rencontre dans les stades ou dans la rue. Le public du CSC est très spécial. Il est original sur tous les plans et je suis fier d'avoir gagner la confiance d'un public très exigent comme celui du CSC », nous confie Daniel qui détient parmi ses document le gain du dernier derby constantinois « Je garderai précieusement ce bien car ce derby m'a beaucoup marqué. Les supporters qui crient lors de chaque victoire Daniel Daniel restera pour l'éternité graver dans ma mémoire», nous révèle l'entraîneur franco-serbe. Darko-Daniel Janackovic nous fait part des ses projets et nous affirme « je sui un entraîneur de première division. Si je serai appelé à rester en Algérie c'est pour entraîner une équipe de la nationale une» confirme t-il. K. B.