Ce rendez-vous est intervenu dans un contexte marqué par la suspicion et certains avocats ont battu campagne pour le report des élections. Ce rendez-vous est intervenu dans un contexte marqué par la suspicion et certains avocats ont battu campagne pour le report des élections. Comme attendu, la liste conduite par le bâtonnier sortant a remporté aisément, jeudi dernier, le 1er tour des élections pour le renouvellement du Conseil de l'ordre du barreau d'Alger. Me Abdelmadjid Selini a, en effet, confirmé sa bonne réputation puisqu'il a obtenu, à l'issue de cette opération électorale qui a eu pour cadre la Cour d'Alger, 796 voix. Un score qui lui évite de revenir solliciter les suffrages de ses pairs avocats le 19 mars prochain, lors du deuxième tour de ces élections. Me Chérif Lekhlef, qui a dirigé une liste concurrente à celle de Me Selini, n'est pas passé au premier tour, malgré le fait d'avoir obtenu 536 voix. «Ce résultat ne fait que confirmer la crédibilité de Me Abdelmadjid Selini car ces élections se sont bien déroulées dans une totale transparence» nous a affirmé hier un avocat. Apparemment, ce scrutin, qui a fait couler beaucoup d'encre, s'est finalement déroulé dans un climat plutôt serein. «Les élections se déroulent dans de bonnes conditions» nous a en effet indiqué jeudi dernier Me Ahmed Abeche qui fait partie, au même titre que les anciens bâtonniers Amar Bentoumi et Tayeb Beloula, de la commission qui a eu pour mission d'organiser et de superviser ces élections. Un constat vite relayé par d'autres avocats présents sur place. Ce rendez-vous est intervenu dans un contexte marqué par la suspicion et certains avocats qui ne cachent pas leur animosité à Me Selini qui brigue un troisième mandat consécutif, ont battu campagne pour le report des élections. Me Abderrazak Chaoui a déposé une requête dans ce sens auprès du Conseil d'Etat, mais elle a été rejetée par cette juridiction administrative. Me Chaoui n'a pas réussi cette fois-ci, lui qui est parvenu, avec 7 autre avocats, à faire annuler par cette même juridiction les élections de février 2008. En effet, le Conseil d'Etat, considérant que les élections ont été entachées de quelques « irrégularités », a rendu son verdict le 13 janvier dernier. Très vite, Me Selini, en sa qualité de président de Conseil de l'ordre du barreau d'Alger, a programmé de nouvelles élections et a, pour ce faire, installé une commission constituée de 4 anciens bâtonniers. Me Ali Amar Laouar, invoquant dans une lettre adressée à Selini les conditions d'organisation qui ne sont pas adéquates, s'est retiré au bout de quelques jours laissant cette tâche ardue aux trois ex-bâtonniers cités plus haut. D'autres ténors du barreau d'Alger, à l'exemple de Me Mustapha Bouchachi, ont, après avoir vu leur demande de report des élections rejetée par Me Selini, refusé de présenter leur candidature. Maître Bouchachi justifiera cette position par le manque de conditions idoines pour la tenue de ces élections et l'inexistence d'une liste couplète des avocats du barreau d'Alger. Me Selini balaye d'un revers de la main toutes ces «accusations» en soutenant que «toutes les conditions sont réunies pour la tenue du scrutin dans une totale transparence». Tout compte fait, Me Abdelmadjid Selini est bien parti pour rafler la mise et tout indique qu'il va remporter l'écrasante majorité des 31 sièges du Conseil de l'ordre du barreau d'Alger, comme ce fut le cas au conseil sortant. Comme attendu, la liste conduite par le bâtonnier sortant a remporté aisément, jeudi dernier, le 1er tour des élections pour le renouvellement du Conseil de l'ordre du barreau d'Alger. Me Abdelmadjid Selini a, en effet, confirmé sa bonne réputation puisqu'il a obtenu, à l'issue de cette opération électorale qui a eu pour cadre la Cour d'Alger, 796 voix. Un score qui lui évite de revenir solliciter les suffrages de ses pairs avocats le 19 mars prochain, lors du deuxième tour de ces élections. Me Chérif Lekhlef, qui a dirigé une liste concurrente à celle de Me Selini, n'est pas passé au premier tour, malgré le fait d'avoir obtenu 536 voix. «Ce résultat ne fait que confirmer la crédibilité de Me Abdelmadjid Selini car ces élections se sont bien déroulées dans une totale transparence» nous a affirmé hier un avocat. Apparemment, ce scrutin, qui a fait couler beaucoup d'encre, s'est finalement déroulé dans un climat plutôt serein. «Les élections se déroulent dans de bonnes conditions» nous a en effet indiqué jeudi dernier Me Ahmed Abeche qui fait partie, au même titre que les anciens bâtonniers Amar Bentoumi et Tayeb Beloula, de la commission qui a eu pour mission d'organiser et de superviser ces élections. Un constat vite relayé par d'autres avocats présents sur place. Ce rendez-vous est intervenu dans un contexte marqué par la suspicion et certains avocats qui ne cachent pas leur animosité à Me Selini qui brigue un troisième mandat consécutif, ont battu campagne pour le report des élections. Me Abderrazak Chaoui a déposé une requête dans ce sens auprès du Conseil d'Etat, mais elle a été rejetée par cette juridiction administrative. Me Chaoui n'a pas réussi cette fois-ci, lui qui est parvenu, avec 7 autre avocats, à faire annuler par cette même juridiction les élections de février 2008. En effet, le Conseil d'Etat, considérant que les élections ont été entachées de quelques « irrégularités », a rendu son verdict le 13 janvier dernier. Très vite, Me Selini, en sa qualité de président de Conseil de l'ordre du barreau d'Alger, a programmé de nouvelles élections et a, pour ce faire, installé une commission constituée de 4 anciens bâtonniers. Me Ali Amar Laouar, invoquant dans une lettre adressée à Selini les conditions d'organisation qui ne sont pas adéquates, s'est retiré au bout de quelques jours laissant cette tâche ardue aux trois ex-bâtonniers cités plus haut. D'autres ténors du barreau d'Alger, à l'exemple de Me Mustapha Bouchachi, ont, après avoir vu leur demande de report des élections rejetée par Me Selini, refusé de présenter leur candidature. Maître Bouchachi justifiera cette position par le manque de conditions idoines pour la tenue de ces élections et l'inexistence d'une liste couplète des avocats du barreau d'Alger. Me Selini balaye d'un revers de la main toutes ces «accusations» en soutenant que «toutes les conditions sont réunies pour la tenue du scrutin dans une totale transparence». Tout compte fait, Me Abdelmadjid Selini est bien parti pour rafler la mise et tout indique qu'il va remporter l'écrasante majorité des 31 sièges du Conseil de l'ordre du barreau d'Alger, comme ce fut le cas au conseil sortant.