Certaines localités dans la commune de Boudjima continuent à souffrir du manque de ce liquide précieux qui ne coule dans les robinets que très rarement . Les habitants du village d'Agouni Oufakous doivent se débrouiller pour s'approvisionner en eau et cette corvée revient aux femmes lesquelles doivent aller chercher l'eau dans les forages. Certaines localités dans la commune de Boudjima continuent à souffrir du manque de ce liquide précieux qui ne coule dans les robinets que très rarement . Les habitants du village d'Agouni Oufakous doivent se débrouiller pour s'approvisionner en eau et cette corvée revient aux femmes lesquelles doivent aller chercher l'eau dans les forages. Si beaucoup a été fait en matière de l'alimentation en eau potable dans la wilaya de Tizi Ouzou afin d'améliorer la dotation journalière des ménages, certaines localités continuent à souffrir du manque de ce liquide précieux qui ne coule des robinets que très rarement dans la commune de Boudjima (daïra de Makouda). Les habitants du village d'Agouni Oufakous doivent se débrouiller pour s'approvisionner en eau et la corvée d'eau revient aux femmes qui doivent aller chercher l'eau dans les forages réalisés par des particuliers pour un montant de pas moins de 11.000 DA. Il s'agit d'un profond puits creusé sur un site détecté par un ingénieur. Les habitants ont ainsi de l'eau et en contrepartie de ce service, les familles payent l'énergie électrique consommé par le moteur en versant chaque mois 100 DA par foyer. Cela dit, une légère amélioration a été constatée par les habitants du village qui nous informent qu'ils reçoivent l'eau deux ou trois fois par mois. Constatant notre étonnement de les voir parler d'amélioration alors que l'eau ne coule dans leurs robinets qu'une fois chaque 15 jour, ils nous expliquent qu'auparavant ils devaient attendre trois, quatre, voire cinq mois avant d'avoir de l'eau. Selon les villageois, cette «amélioration» est le résultat de plusieurs requêtes adressées aux autorités compétentes. Ces dernières ont dû recourir à cette solution provisoire en attendant de régler définitivement le problème par le raccordement de la région au barrage de Taksebt. En effet, selon le directeur de l'Algérienne des eaux, la solution définitive au problème que vivent les habitants de Boudjima est l'opération de transfert des eaux du barrage vers cette localité. Le projet est en cours et le raccordement devait se faire l'année prochaine, apprend-on. Il est à rappeler que depuis la réalisation des transferts d'eau à partir du barrage du Taksebt, le taux des foyers qui ont de l'eau H/24 est passé de 05% en 2006 à 30% en 2008. Un taux qui est appelé à s'améliorer avec le raccordement de la partie sud de la wilaya au barrage de Koudiet Acerdoune (Bouira). Si beaucoup a été fait en matière de l'alimentation en eau potable dans la wilaya de Tizi Ouzou afin d'améliorer la dotation journalière des ménages, certaines localités continuent à souffrir du manque de ce liquide précieux qui ne coule des robinets que très rarement dans la commune de Boudjima (daïra de Makouda). Les habitants du village d'Agouni Oufakous doivent se débrouiller pour s'approvisionner en eau et la corvée d'eau revient aux femmes qui doivent aller chercher l'eau dans les forages réalisés par des particuliers pour un montant de pas moins de 11.000 DA. Il s'agit d'un profond puits creusé sur un site détecté par un ingénieur. Les habitants ont ainsi de l'eau et en contrepartie de ce service, les familles payent l'énergie électrique consommé par le moteur en versant chaque mois 100 DA par foyer. Cela dit, une légère amélioration a été constatée par les habitants du village qui nous informent qu'ils reçoivent l'eau deux ou trois fois par mois. Constatant notre étonnement de les voir parler d'amélioration alors que l'eau ne coule dans leurs robinets qu'une fois chaque 15 jour, ils nous expliquent qu'auparavant ils devaient attendre trois, quatre, voire cinq mois avant d'avoir de l'eau. Selon les villageois, cette «amélioration» est le résultat de plusieurs requêtes adressées aux autorités compétentes. Ces dernières ont dû recourir à cette solution provisoire en attendant de régler définitivement le problème par le raccordement de la région au barrage de Taksebt. En effet, selon le directeur de l'Algérienne des eaux, la solution définitive au problème que vivent les habitants de Boudjima est l'opération de transfert des eaux du barrage vers cette localité. Le projet est en cours et le raccordement devait se faire l'année prochaine, apprend-on. Il est à rappeler que depuis la réalisation des transferts d'eau à partir du barrage du Taksebt, le taux des foyers qui ont de l'eau H/24 est passé de 05% en 2006 à 30% en 2008. Un taux qui est appelé à s'améliorer avec le raccordement de la partie sud de la wilaya au barrage de Koudiet Acerdoune (Bouira).