M. Benbada, ministre de la PME/PMI et de l'Artisanat avait promis d'aider les jeunes artisans d'Ath Yenni, et ce dans la perspective de promouvoir l'artisanat en général et la bijouterie en particulier. M. Benbada, ministre de la PME/PMI et de l'Artisanat avait promis d'aider les jeunes artisans d'Ath Yenni, et ce dans la perspective de promouvoir l'artisanat en général et la bijouterie en particulier. Afin de relancer l'artisanat local, le ministère de la PME/PMI et de l'Artisanat a octroyé à 24 jeunes bijoutiers le matériel nécessaire pour leurs activités. Le matériel a été remis lors d'une cérémonie qui s'est déroulée à la maison de la culture Mouloud- Mammeri en fin de semaine en présence de M.Bara directeur de la PME et de l'artisanat. Chaque artisan a béneficié d'un équipement d'une valeur de 10 millions de centimes. Cette action vient suite à la promesse faite par M. Benbada ministre de la PME/PMI et de l'Artisanat, lequel lors la fête du Bijou d'Ath Yenni en 2007 avait promis d'aider les jeunes artisans, ce dans la perspective de promouvoir l'artisanat en général et la bijouterie en particulier sachant que cette dernière vit des moments très difficiles vu la cherté de la matière première et le problème de commercialisation. Après avoir suivi une formation et obtenu leur diplôme de qualification, les 24 jeunes artisans sous l'égide de l'Association des bijoutiers d'Ath Yenni, ont bénéficié d'une autre formation dan le cadre du programme du Bureau international du travail (BIT). Quant aux aides, elles ont été rendues possibles grâce au fonds national de promotion de l'artisanat. Le président de l'Association des bijoutiers d'Ath Yenni avouera que le nombre des bijoutiers qui était de 450 dans les années 80 a baissé pour atteindre 35 en 2000. Actuellement un regain d'intérêt pour cette activité est enregistré, toutefois sans l'aide de l'Etat cette activité séculaire risque de disparaitre. En 2006 on a recensé 78 bijoutiers. Le président de l'association a dénoncé certains blocages administratifs mais aussi la non adaptation de certaines lois à l'activité de l'artisanat,à l'exemple de la loi qui met sur le même pied d'égalité le commerce et l'artisanat et qui exige de l'artisan un contrat de location de trois ans pour pouvoir s'inscrire à la CASNOS. Des promesses ont été faite dans ce sens mais les artisans attendent toujours leur concrétisation. Afin de relancer l'artisanat local, le ministère de la PME/PMI et de l'Artisanat a octroyé à 24 jeunes bijoutiers le matériel nécessaire pour leurs activités. Le matériel a été remis lors d'une cérémonie qui s'est déroulée à la maison de la culture Mouloud- Mammeri en fin de semaine en présence de M.Bara directeur de la PME et de l'artisanat. Chaque artisan a béneficié d'un équipement d'une valeur de 10 millions de centimes. Cette action vient suite à la promesse faite par M. Benbada ministre de la PME/PMI et de l'Artisanat, lequel lors la fête du Bijou d'Ath Yenni en 2007 avait promis d'aider les jeunes artisans, ce dans la perspective de promouvoir l'artisanat en général et la bijouterie en particulier sachant que cette dernière vit des moments très difficiles vu la cherté de la matière première et le problème de commercialisation. Après avoir suivi une formation et obtenu leur diplôme de qualification, les 24 jeunes artisans sous l'égide de l'Association des bijoutiers d'Ath Yenni, ont bénéficié d'une autre formation dan le cadre du programme du Bureau international du travail (BIT). Quant aux aides, elles ont été rendues possibles grâce au fonds national de promotion de l'artisanat. Le président de l'Association des bijoutiers d'Ath Yenni avouera que le nombre des bijoutiers qui était de 450 dans les années 80 a baissé pour atteindre 35 en 2000. Actuellement un regain d'intérêt pour cette activité est enregistré, toutefois sans l'aide de l'Etat cette activité séculaire risque de disparaitre. En 2006 on a recensé 78 bijoutiers. Le président de l'association a dénoncé certains blocages administratifs mais aussi la non adaptation de certaines lois à l'activité de l'artisanat,à l'exemple de la loi qui met sur le même pied d'égalité le commerce et l'artisanat et qui exige de l'artisan un contrat de location de trois ans pour pouvoir s'inscrire à la CASNOS. Des promesses ont été faite dans ce sens mais les artisans attendent toujours leur concrétisation.