Bourrage des urnes, fraude massive, scandale, mascarade, hold-up contre le PT, et autres joyeusetés du même genre ont constitué la trame du rapport d'ouverture de la pasionaria du PT. Bourrage des urnes, fraude massive, scandale, mascarade, hold-up contre le PT, et autres joyeusetés du même genre ont constitué la trame du rapport d'ouverture de la pasionaria du PT. La candidate du PT (Parti des travailleurs), Louisa Hanoune à l'élection présidentielle du 9 avril a eu du mal à trouver des mots, entre coup de colère et humour, pour qualifier les résultats sortis des urnes. Bourrage des urnes, fraude massive, scandale, mascarade, hold-up contre le PT, et autres joyeusetés du même genre ont constitué la trame du rapport d'ouverture de la pasionaria du PT, lu devant les membres du CC réunis, hier, en session extraordinaire à Alger pour débattre du bilan de l'élection présidentielle, du budget de la campagne électorale et, c'est inscrit dans l'ordre du jour des travaux, préparer la riposte. « C'était un tsunami de la fraude », a-t-elle souligné, pour répondre à l'expression employée par le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qualifiant les résultats de l'élection présidentielle obtenus par le candidat indépendant de « tsunami électoral » en faveur de Abdelaziz Bouteflika. L'auteur de ce dérapage est, et la secrétaire du PT est convaincue, « le système du parti unique avec ses pratiques obsolètes ». Un système qui a, selon elle, « 2 ou 3 têtes apparentes », sans pour autant qu'elle les identifie, fissuré en octobre 1988, ébranlé en avril 2009 (élection présidentielle) et en crise présentement. Continuant sur sa lancée et estimant que ce système a montré « son visage hideux », la patronne du PT prévient que « la parenthèse de la crise (1991 à décembre 2007) est fermée » et souligne que « le président de la République doit choisir entre le clientélisme, les courtisans et le peuple ». Première cible visée par Louisa Hanoune, l'APN (Assemblée populaire nationale) qui doit-être, a-t-elle exigé, « dissoute pour élire une Assemblée constituante souveraine ». Et sur cette question, elle adopte la même position que celle de certains ministres du FLN qui ne portent pas en estime la chambre basse du Parlement. En tout état de cause, elle affirme que « le peuple algérien a utilisé ce scrutin dans un processus révolutionnaire », citant le Venezuela, la Bolivie, l'Equateur et le Brèsil qui sont en « rupture » avec des systèmes obsolètes. Estimant qu' « il faut libérer l'Etat de la pieuvre de la nomenklatura », elle souligne que « l'Algérie se trouve à un carrefour » et affirme que « la Révolution algérienne n'est pas morte dans la conscience collective », mettant en exergue le fait qu'elle ne voudrait pas « être complice de ce qui s'est passé. C'est une honte », s'est-elle indignée, dénonçant les résultats de l'élection présidentielle qui a vu « une participation appréciable d'électeurs » qu'elle a évaluée à « 52% ». Une fraude que le pays « va payer cash », pour avoir différé « la rupture » pour raison de bourrage des urnes. Les scores « à la tunisienne ou brejnévien », vont êtres, a-t-elle prédit « exploités par les puissances étrangères pour faire pression sur notre pays sur les plans politique et économique". La candidate du PT (Parti des travailleurs), Louisa Hanoune à l'élection présidentielle du 9 avril a eu du mal à trouver des mots, entre coup de colère et humour, pour qualifier les résultats sortis des urnes. Bourrage des urnes, fraude massive, scandale, mascarade, hold-up contre le PT, et autres joyeusetés du même genre ont constitué la trame du rapport d'ouverture de la pasionaria du PT, lu devant les membres du CC réunis, hier, en session extraordinaire à Alger pour débattre du bilan de l'élection présidentielle, du budget de la campagne électorale et, c'est inscrit dans l'ordre du jour des travaux, préparer la riposte. « C'était un tsunami de la fraude », a-t-elle souligné, pour répondre à l'expression employée par le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, qualifiant les résultats de l'élection présidentielle obtenus par le candidat indépendant de « tsunami électoral » en faveur de Abdelaziz Bouteflika. L'auteur de ce dérapage est, et la secrétaire du PT est convaincue, « le système du parti unique avec ses pratiques obsolètes ». Un système qui a, selon elle, « 2 ou 3 têtes apparentes », sans pour autant qu'elle les identifie, fissuré en octobre 1988, ébranlé en avril 2009 (élection présidentielle) et en crise présentement. Continuant sur sa lancée et estimant que ce système a montré « son visage hideux », la patronne du PT prévient que « la parenthèse de la crise (1991 à décembre 2007) est fermée » et souligne que « le président de la République doit choisir entre le clientélisme, les courtisans et le peuple ». Première cible visée par Louisa Hanoune, l'APN (Assemblée populaire nationale) qui doit-être, a-t-elle exigé, « dissoute pour élire une Assemblée constituante souveraine ». Et sur cette question, elle adopte la même position que celle de certains ministres du FLN qui ne portent pas en estime la chambre basse du Parlement. En tout état de cause, elle affirme que « le peuple algérien a utilisé ce scrutin dans un processus révolutionnaire », citant le Venezuela, la Bolivie, l'Equateur et le Brèsil qui sont en « rupture » avec des systèmes obsolètes. Estimant qu' « il faut libérer l'Etat de la pieuvre de la nomenklatura », elle souligne que « l'Algérie se trouve à un carrefour » et affirme que « la Révolution algérienne n'est pas morte dans la conscience collective », mettant en exergue le fait qu'elle ne voudrait pas « être complice de ce qui s'est passé. C'est une honte », s'est-elle indignée, dénonçant les résultats de l'élection présidentielle qui a vu « une participation appréciable d'électeurs » qu'elle a évaluée à « 52% ». Une fraude que le pays « va payer cash », pour avoir différé « la rupture » pour raison de bourrage des urnes. Les scores « à la tunisienne ou brejnévien », vont êtres, a-t-elle prédit « exploités par les puissances étrangères pour faire pression sur notre pays sur les plans politique et économique".