Les plages de Boukhelifa ont pu enfin retrouver, dès début juillet, leur charme d'antan. Elles sont devenues attrayantes au même titre que celles mythiques de Tichy et Aokas, prisées par les visiteurs venus de toutes les wilayas du pays. Les plages de Boukhelifa ont pu enfin retrouver, dès début juillet, leur charme d'antan. Elles sont devenues attrayantes au même titre que celles mythiques de Tichy et Aokas, prisées par les visiteurs venus de toutes les wilayas du pays. La plage d'El Meghra à Boukhelifa a été choisie, l'an dernier, parmi les 7 plages d'" excellence" à Béjaïa. Elle a bénéficié de plusieurs projets d'aménagement et d'entretien, notamment le bitumage de la route y menant, l'aménagement des trottoirs et l'installation de l'éclairage public. L'affluence des baigneurs y est telle qu'il est parfois difficile de se frayer un chemin ou encore de trouver une place pour s'y installer en famille. C'est à partir de la mi-juillet que ces plages, particulièrement El Maghra et Capri-Tour, réputées, elles aussi pour leurs villages touristiques, atteignent leur pic d'affluence. Les plages de Boukhelifa ont pu enfin retrouver, dès début juillet, leur charme d'antan. Elles sont devenues attrayantes au même titre que celles mythiques de Tichy et Aokas, prisées par les visiteurs venus de toutes les wilayas du pays. "Ici, les gens trouvent un bien-être, vu la propreté, la sécurité des lieux et le moment inoubliable du crépuscule", nous dira un riverain. La plage Djoua, a elle aussi, ses propres atouts et…ses fidèles. C'est une plage paisible fréquentée par des familles qui se rabattent sur de pareils endroits pour éviter les cohues. Même si la plage Pk10 n'est pas dotée d'un poste de secours, quelques estivants s'y aventurent en bravant les dangers de la mer rien que pour profiter de la salubrité et du calme des lieux. Les plages de Boukhelifa ne peuvent pas prétendre à un tourisme de masse, selon un élu de cette commune. En d'autres mots, la plage pilote El Maghra continue, non sans peine, à confirmer son "label" du moment que beaucoup reste à faire, ne serait-ce que son alimentation en eau et en électricité. "Les 2 millions de dinars, accordé cette année par la wilaya, pour les préparatifs de la saison estivale couvrent tout juste les traditionnels préparatifs consistant en l'aménagement des chemins menant aux plages, le nettoyage et leur désherbage", déplore cet élu. Les plages El Maghra et Acherchour sont dotées, cette année, de sanitaires et douches et prochainement El Djabia aura également ses sanitaires. Contrairement à l'été dernier, certaines activités saisonnières n'ont pas été autorisées sur certaines plages, à l'exemple de la location de tentes, les pizzerias et les restaurants non conformes aux normes d'hygiène. "On nous interdit la location de tentes pour des raisons sécuritaires alors qu'à Aokas et Oued Zitouna, les tentes sont bel et bien installées", s'interroge un jeune lycéen. Sur les plages, alors que les estivants profitent les moments de joie pour leur détente, les jeunes de la région sont en quête de leur gagne-pain en exerçant des petits jobs d'été. Des enfants se débrouillent et traînent les pieds le long des plages en proposant, à longueur de journée, des glaces et des sucreries. D'autres s'installent dans des coins pour griller le maïs et vendre le tabac. Des jeunes et moins jeunes installent leurs tentes et parasols pour les louer comme bon leur semble... Détente pour certains et gagne-pain pour d'autres. S. N. La plage d'El Meghra à Boukhelifa a été choisie, l'an dernier, parmi les 7 plages d'" excellence" à Béjaïa. Elle a bénéficié de plusieurs projets d'aménagement et d'entretien, notamment le bitumage de la route y menant, l'aménagement des trottoirs et l'installation de l'éclairage public. L'affluence des baigneurs y est telle qu'il est parfois difficile de se frayer un chemin ou encore de trouver une place pour s'y installer en famille. C'est à partir de la mi-juillet que ces plages, particulièrement El Maghra et Capri-Tour, réputées, elles aussi pour leurs villages touristiques, atteignent leur pic d'affluence. Les plages de Boukhelifa ont pu enfin retrouver, dès début juillet, leur charme d'antan. Elles sont devenues attrayantes au même titre que celles mythiques de Tichy et Aokas, prisées par les visiteurs venus de toutes les wilayas du pays. "Ici, les gens trouvent un bien-être, vu la propreté, la sécurité des lieux et le moment inoubliable du crépuscule", nous dira un riverain. La plage Djoua, a elle aussi, ses propres atouts et…ses fidèles. C'est une plage paisible fréquentée par des familles qui se rabattent sur de pareils endroits pour éviter les cohues. Même si la plage Pk10 n'est pas dotée d'un poste de secours, quelques estivants s'y aventurent en bravant les dangers de la mer rien que pour profiter de la salubrité et du calme des lieux. Les plages de Boukhelifa ne peuvent pas prétendre à un tourisme de masse, selon un élu de cette commune. En d'autres mots, la plage pilote El Maghra continue, non sans peine, à confirmer son "label" du moment que beaucoup reste à faire, ne serait-ce que son alimentation en eau et en électricité. "Les 2 millions de dinars, accordé cette année par la wilaya, pour les préparatifs de la saison estivale couvrent tout juste les traditionnels préparatifs consistant en l'aménagement des chemins menant aux plages, le nettoyage et leur désherbage", déplore cet élu. Les plages El Maghra et Acherchour sont dotées, cette année, de sanitaires et douches et prochainement El Djabia aura également ses sanitaires. Contrairement à l'été dernier, certaines activités saisonnières n'ont pas été autorisées sur certaines plages, à l'exemple de la location de tentes, les pizzerias et les restaurants non conformes aux normes d'hygiène. "On nous interdit la location de tentes pour des raisons sécuritaires alors qu'à Aokas et Oued Zitouna, les tentes sont bel et bien installées", s'interroge un jeune lycéen. Sur les plages, alors que les estivants profitent les moments de joie pour leur détente, les jeunes de la région sont en quête de leur gagne-pain en exerçant des petits jobs d'été. Des enfants se débrouillent et traînent les pieds le long des plages en proposant, à longueur de journée, des glaces et des sucreries. D'autres s'installent dans des coins pour griller le maïs et vendre le tabac. Des jeunes et moins jeunes installent leurs tentes et parasols pour les louer comme bon leur semble... Détente pour certains et gagne-pain pour d'autres. S. N.