Apparemment le président du MSP ne désespère pas de retrouver sa place au sein de l‘exécutif. «Je suis prêt à revenir au gouvernement si le devoir national le commande» a, indiqué, hier, Bouguerra Soltani. S‘exprimant lors d‘un point de presse organisé en marge d‘une conférence nationale consacrée à la jeunesse il a d‘ailleurs expliqué qu‘il n‘a jamais démissionné de son poste de ministre d‘Etat sans portefeuille. «J‘ai juste demandé au président de la République de me décharger de ma mission au sein de l‘équipe gouvernementale » a-t-il précisé. Au lendemain de l‘élection présidentielle du 9 avril, pour rappel, le président du MSP a, sous la pression des événements internes liés à la dissidence à laquelle faisait face le mouvement, a formulé cette demande. Les dissidents, qui ont depuis crée le Mouvement de la prédication et du changement n‘ont eu de cesse de revendiquer la démission de Solatni du gouvernement car, selon eux, cette fonction limite la marge de manœuvre du parti. D‘ailleurs la question de la dissidence a constitué, depuis, la principale préoccupation de Soltani qui semble avoir changé le ton de son discours devenu plus apaisant, plus conciliant « Les portes du mouvement sont toujours ouvertes » a-t-il ainsi soutenu hier. Il a aussi affirmé que « ceux qui veulent revenir au mouvement sont les bienvenus » non sans avoir mis en exergue l‘initiative de réconciliation initiée par de nombreux cadres et militants qui ont lancé, il y a quelques semaines, un appel à l‘unité des rangs du mouvement. Cet appel demandait à chacune des deux parties de faire des concessions dans l‘intérêt du mouvement cher au regretté Mahfoudh Nahnah. Ce clin d‘œil de Bouguerra Soltani intervient à quelques semaines seulement de la tenue d‘une session cruciale du conseil consultatif du mouvement qui aura lieu, comme il l‘a déclaré, les 11 et 12 août. Cette session devait examiner en profondeur, la question de la dissidence et, comme l‘ont prédit certains qui se sont appuyés sur les déclarations des responsables du parti, prendre aussi des mesures disciplinaires à l‘encontre de ceux qui ont crée le MPC. Le conseil consultatif va-t-il décider d‘exclure définitivement les leaders du MPC, à l‘exemple de Abdelamdjid Menasra, farouche opposant à Aboudjerra Soltani ? La déclaration d‘hier du président du MSP laisse planer le doute et permet de croire que « les sages du mouvement veulent se donner davantage de temps pour permettre aux tentatives de réconciliation qui n‘ont jamais cessé d‘aboutir». Par ailleurs le conférencier a estimé que le mouvement n‘est pas contre le changement du week end, décidé récemment par le Conseil des ministres et qui entrera en vigueur à partir du 14 août prochain. «Nous avons souhaité que toute la journée du vendredi soit consacrée journée de repos» é a-t-il précisé en ajoutant que cette mesure n‘est pas dictée par des considérations politiques. Bouguerra Soltani, qui a reconnu que le mouvement a présenté, au lendemain de la présidentielle du 9 avril, une liste de « ministrables au président de la République, s‘est dit une fois de plus en faveur de la stabilité des institutions. Une organisation de jeunes pour le MSP Le MSP vient de créer sa propre organisation de jeunes. Dénommée «Chems», cette organisation a vu le jour, en effet, hier à l'occasion de l'organisation par le mouvement d'une conférence nationale de la jeunesse. Une conférence dont les travaux ont été fortement perturbés parce que le mouvement n'avait pas d'autorisation des services compétents de la wilaya d'Alger. Cette autorisation a été finalement accordée, mais un peu tardivement ont expliqué les responsables du parti. Apparemment le président du MSP ne désespère pas de retrouver sa place au sein de l‘exécutif. «Je suis prêt à revenir au gouvernement si le devoir national le commande» a, indiqué, hier, Bouguerra Soltani. S‘exprimant lors d‘un point de presse organisé en marge d‘une conférence nationale consacrée à la jeunesse il a d‘ailleurs expliqué qu‘il n‘a jamais démissionné de son poste de ministre d‘Etat sans portefeuille. «J‘ai juste demandé au président de la République de me décharger de ma mission au sein de l‘équipe gouvernementale » a-t-il précisé. Au lendemain de l‘élection présidentielle du 9 avril, pour rappel, le président du MSP a, sous la pression des événements internes liés à la dissidence à laquelle faisait face le mouvement, a formulé cette demande. Les dissidents, qui ont depuis crée le Mouvement de la prédication et du changement n‘ont eu de cesse de revendiquer la démission de Solatni du gouvernement car, selon eux, cette fonction limite la marge de manœuvre du parti. D‘ailleurs la question de la dissidence a constitué, depuis, la principale préoccupation de Soltani qui semble avoir changé le ton de son discours devenu plus apaisant, plus conciliant « Les portes du mouvement sont toujours ouvertes » a-t-il ainsi soutenu hier. Il a aussi affirmé que « ceux qui veulent revenir au mouvement sont les bienvenus » non sans avoir mis en exergue l‘initiative de réconciliation initiée par de nombreux cadres et militants qui ont lancé, il y a quelques semaines, un appel à l‘unité des rangs du mouvement. Cet appel demandait à chacune des deux parties de faire des concessions dans l‘intérêt du mouvement cher au regretté Mahfoudh Nahnah. Ce clin d‘œil de Bouguerra Soltani intervient à quelques semaines seulement de la tenue d‘une session cruciale du conseil consultatif du mouvement qui aura lieu, comme il l‘a déclaré, les 11 et 12 août. Cette session devait examiner en profondeur, la question de la dissidence et, comme l‘ont prédit certains qui se sont appuyés sur les déclarations des responsables du parti, prendre aussi des mesures disciplinaires à l‘encontre de ceux qui ont crée le MPC. Le conseil consultatif va-t-il décider d‘exclure définitivement les leaders du MPC, à l‘exemple de Abdelamdjid Menasra, farouche opposant à Aboudjerra Soltani ? La déclaration d‘hier du président du MSP laisse planer le doute et permet de croire que « les sages du mouvement veulent se donner davantage de temps pour permettre aux tentatives de réconciliation qui n‘ont jamais cessé d‘aboutir». Par ailleurs le conférencier a estimé que le mouvement n‘est pas contre le changement du week end, décidé récemment par le Conseil des ministres et qui entrera en vigueur à partir du 14 août prochain. «Nous avons souhaité que toute la journée du vendredi soit consacrée journée de repos» é a-t-il précisé en ajoutant que cette mesure n‘est pas dictée par des considérations politiques. Bouguerra Soltani, qui a reconnu que le mouvement a présenté, au lendemain de la présidentielle du 9 avril, une liste de « ministrables au président de la République, s‘est dit une fois de plus en faveur de la stabilité des institutions. Une organisation de jeunes pour le MSP Le MSP vient de créer sa propre organisation de jeunes. Dénommée «Chems», cette organisation a vu le jour, en effet, hier à l'occasion de l'organisation par le mouvement d'une conférence nationale de la jeunesse. Une conférence dont les travaux ont été fortement perturbés parce que le mouvement n'avait pas d'autorisation des services compétents de la wilaya d'Alger. Cette autorisation a été finalement accordée, mais un peu tardivement ont expliqué les responsables du parti.