Le directeur de l'Etablissement de proximité de santé publique d'Aokas (EPSP) déclare que ses services sont submergés durant la période estivale et arrivent difficilement à répondre à la demande croissante des patients. Le directeur de l'Etablissement de proximité de santé publique d'Aokas (EPSP) déclare que ses services sont submergés durant la période estivale et arrivent difficilement à répondre à la demande croissante des patients. L'afflux massif des estivants vers la wilaya de Bejaia n'est pas sans effet sur le fonctionnement des établissements sanitaires. Le directeur de l'Etablissement de proximité de santé publique d'Aokas (EPSP) déclare que ses services sont submergés durant la période estivale et arrivent difficilement à répondre à la demande croissante des patients. Cela en sachant que plusieurs maladies dues à la chaleur se propagent d'où des mesures préventives doivent être prises. Cette situation perdure malgré les efforts fournis pour doter les salles de soins et les centres de santé en moyens tant matériels qu'humains pour y remédier un tant soit peu. «Nous sommes contraints de réduire la liste des partants en congé, de renforcer le personnel et d'élargir les horaires de travail malgré la surcharge des médecins», déclare notre interlocuteur. Ce dernier met en cause les modalités de recrutement du personnel médical qui ne tiennent pas compte de l'afflux croissant des vacanciers. En dehors de la saison estivale, la direction de la santé de proximité d'Aokas prend en charge 79.000 habitants repartis sur 6 communes du littoral. Il s'agit de Boukhelifa, Tichy, Aokas, Tizi N'berber, Souk El Tenine et Melbou. Ces communes ont été dotées, depuis la dernière révision de la carte sanitaire de Bejaia, il y a deux ans, de moyens logistiques et d'autres améliorations dans les services. Citons entre autres le recrutement récent de deux médecins de nuit à Souk El Tenine, de deux autres et d'un dentiste à Boukhelifa. Il a été également procédé à l'aménagement du centre de santé de Tizi N'berber et l'acquisition de deux ambulances au profit de la daïra de Souk El Tenine. Le centre de santé de Laâche Ighiouer à Boukhlifa demeure abandonné à son triste sort, la policlinique d'Imdane à Tizi N'berber s'est vue, quant à elle, déclassée en salle de soins. L'afflux massif des estivants vers la wilaya de Bejaia n'est pas sans effet sur le fonctionnement des établissements sanitaires. Le directeur de l'Etablissement de proximité de santé publique d'Aokas (EPSP) déclare que ses services sont submergés durant la période estivale et arrivent difficilement à répondre à la demande croissante des patients. Cela en sachant que plusieurs maladies dues à la chaleur se propagent d'où des mesures préventives doivent être prises. Cette situation perdure malgré les efforts fournis pour doter les salles de soins et les centres de santé en moyens tant matériels qu'humains pour y remédier un tant soit peu. «Nous sommes contraints de réduire la liste des partants en congé, de renforcer le personnel et d'élargir les horaires de travail malgré la surcharge des médecins», déclare notre interlocuteur. Ce dernier met en cause les modalités de recrutement du personnel médical qui ne tiennent pas compte de l'afflux croissant des vacanciers. En dehors de la saison estivale, la direction de la santé de proximité d'Aokas prend en charge 79.000 habitants repartis sur 6 communes du littoral. Il s'agit de Boukhelifa, Tichy, Aokas, Tizi N'berber, Souk El Tenine et Melbou. Ces communes ont été dotées, depuis la dernière révision de la carte sanitaire de Bejaia, il y a deux ans, de moyens logistiques et d'autres améliorations dans les services. Citons entre autres le recrutement récent de deux médecins de nuit à Souk El Tenine, de deux autres et d'un dentiste à Boukhelifa. Il a été également procédé à l'aménagement du centre de santé de Tizi N'berber et l'acquisition de deux ambulances au profit de la daïra de Souk El Tenine. Le centre de santé de Laâche Ighiouer à Boukhlifa demeure abandonné à son triste sort, la policlinique d'Imdane à Tizi N'berber s'est vue, quant à elle, déclassée en salle de soins.