Le Conseil des lycées d'Algérie (CLA) a annoncé une action de protestation puisqu' il compte, en effet, boycotter cette rentrée scolaire. Cette action est fort justifiée, dès lors que le département de Benbouzid continue de faire la sourde oreille aux multiples appels des syndicats, de tergiverser et de faire dans la fuite en avant. Le Conseil des lycées d'Algérie (CLA) a annoncé une action de protestation puisqu' il compte, en effet, boycotter cette rentrée scolaire. Cette action est fort justifiée, dès lors que le département de Benbouzid continue de faire la sourde oreille aux multiples appels des syndicats, de tergiverser et de faire dans la fuite en avant. La rentrée scolaire de cette année qui a lieu aujourd‘hui sur l‘ensemble du territoire national, risque fort bien d‘être assez mouvementée. Les syndicats autonomes ont, en tout cas, sonné le tocsin bien avant le 13 septembre en brandissant la menace de multiplier les mouvements de protestations dans le cas ou le ministère de l‘Education nationale, ne réponde pas favorablement à leurs doléances. Boubakeur Benbouzid est ainsi averti, lui qui semble faire peu cas de ces annonces en soutenant, jeudi dernier, «qu‘il n‘y aura aucune grève ce dimanche». C‘est le conseil des lycées d‘Algérie (CLA) qui a annoncé une action de protestation puisque il compte, en effet, boycotter cette rentrée scolaire. Selon les responsables de ce syndicat non agréé, cette action est fort justifiée, dès lors que le département de Benbouzid continue de faire la sourde oreille aux multiples appels des syndicats, de tergiverser et de faire dans la fuite en avant. Ainsi «non seulement la tutelle ne tient pas ses promesses mais fait tout pour gérer bureaucratiquement le secteur à coups de circulaires et en l‘absence des enseignants concernés». Le CLA, à l‘instar des autres syndicats autonomes, revendique un nouveau régime indemnitaire pour lequel le ministère et les syndicats ont mis sur pied des commissions paritaires et la révision du statut particulier des enseignants. La question salariale est, on s‘en doute, l‘épine dorsale des revendications des syndicats autonomes alors que les pouvoirs publics semblent traîner le pas, ne montrant aucun empressement à ouvrir sérieusement les discussions autour de la question du régime indemnitaire. Une attitude qui pousse le conseil national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique (CNAPEST) à monter à son tour au créneau en durcissant le ton, ce qui constitue un signe qui ne trompe pas sur l‘intention de ce syndicat bien implanté dans les lycées à multiplier à l‘avenir les actions de protestation. En effet, dans un communiqué rendu public, hier, le CNAPEST annonce une action de protestation avec arrêt des cours pour le 5 octobre prochain qui coïncide avec la journée de l‘enseignant. Le CNAPEST reproche au ministère de l‘Education nationale sa «tergiversation» et «son entêtement caractérisé par la non ouverture de négociations séreuses et la prise en charge effective» des revendications des enseignants. Ces dernières tournent essentiellement autour de trois dossiers qui portent sur le régime indemnitaire, les œuvres sociales et la médecine du travail. De plus, ce syndicat, qui met en avant la chute vertigineuse du pouvoir d‘achat des enseignants, accuse le ministère de l‘Education de n‘ «avoir pas respecté ses engagements contenus dans le PV de réunion du 25/12/2008». Apparemment, le CNAPEST ne compte pas se suffire de cette seule action puisque, après avoir appelé ses adhérents à faire des propositions d‘actions de protestation qui seront présentées lors de la réunion du Conseil national prévue le 9 octobre, il entend mener des «actions d‘envergure» . C‘est dire combien Boubakeur Benbouzid est sous pression, tant il se trouve à l‘orée d‘une année scolaire qui s‘annonce explosive alors qu‘il n‘a aucun moyen de répondre favorablement aux revendications des syndicats, notamment, sur le dossier sensible du régime indemnitaire. Ce dernier, qui est d‘abord intimement lié à la finalisation de l‘ensemble des statuts particuliers de la fonction pibloque, dépend en grande partie du feu vert du gouvernement. La rentrée scolaire de cette année qui a lieu aujourd‘hui sur l‘ensemble du territoire national, risque fort bien d‘être assez mouvementée. Les syndicats autonomes ont, en tout cas, sonné le tocsin bien avant le 13 septembre en brandissant la menace de multiplier les mouvements de protestations dans le cas ou le ministère de l‘Education nationale, ne réponde pas favorablement à leurs doléances. Boubakeur Benbouzid est ainsi averti, lui qui semble faire peu cas de ces annonces en soutenant, jeudi dernier, «qu‘il n‘y aura aucune grève ce dimanche». C‘est le conseil des lycées d‘Algérie (CLA) qui a annoncé une action de protestation puisque il compte, en effet, boycotter cette rentrée scolaire. Selon les responsables de ce syndicat non agréé, cette action est fort justifiée, dès lors que le département de Benbouzid continue de faire la sourde oreille aux multiples appels des syndicats, de tergiverser et de faire dans la fuite en avant. Ainsi «non seulement la tutelle ne tient pas ses promesses mais fait tout pour gérer bureaucratiquement le secteur à coups de circulaires et en l‘absence des enseignants concernés». Le CLA, à l‘instar des autres syndicats autonomes, revendique un nouveau régime indemnitaire pour lequel le ministère et les syndicats ont mis sur pied des commissions paritaires et la révision du statut particulier des enseignants. La question salariale est, on s‘en doute, l‘épine dorsale des revendications des syndicats autonomes alors que les pouvoirs publics semblent traîner le pas, ne montrant aucun empressement à ouvrir sérieusement les discussions autour de la question du régime indemnitaire. Une attitude qui pousse le conseil national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique (CNAPEST) à monter à son tour au créneau en durcissant le ton, ce qui constitue un signe qui ne trompe pas sur l‘intention de ce syndicat bien implanté dans les lycées à multiplier à l‘avenir les actions de protestation. En effet, dans un communiqué rendu public, hier, le CNAPEST annonce une action de protestation avec arrêt des cours pour le 5 octobre prochain qui coïncide avec la journée de l‘enseignant. Le CNAPEST reproche au ministère de l‘Education nationale sa «tergiversation» et «son entêtement caractérisé par la non ouverture de négociations séreuses et la prise en charge effective» des revendications des enseignants. Ces dernières tournent essentiellement autour de trois dossiers qui portent sur le régime indemnitaire, les œuvres sociales et la médecine du travail. De plus, ce syndicat, qui met en avant la chute vertigineuse du pouvoir d‘achat des enseignants, accuse le ministère de l‘Education de n‘ «avoir pas respecté ses engagements contenus dans le PV de réunion du 25/12/2008». Apparemment, le CNAPEST ne compte pas se suffire de cette seule action puisque, après avoir appelé ses adhérents à faire des propositions d‘actions de protestation qui seront présentées lors de la réunion du Conseil national prévue le 9 octobre, il entend mener des «actions d‘envergure» . C‘est dire combien Boubakeur Benbouzid est sous pression, tant il se trouve à l‘orée d‘une année scolaire qui s‘annonce explosive alors qu‘il n‘a aucun moyen de répondre favorablement aux revendications des syndicats, notamment, sur le dossier sensible du régime indemnitaire. Ce dernier, qui est d‘abord intimement lié à la finalisation de l‘ensemble des statuts particuliers de la fonction pibloque, dépend en grande partie du feu vert du gouvernement.