Le budget du département de l'éducation « représente 16% du budget global de l'Etat » et constitue, de ce fait, « le deuxième plus important budget sectoriel proposé dans la loi de finances 2010 », a indiqué jeudi le premier responsable du secteur, devant les membres de la commission des finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale (APN). Une occasion pour la commission, présidée par Mohamed Kenai, d'entendre et de débattre un exposé sur le budget du secteur de l'Education nationale dans le cadre des réunions consacrées à l'examen du budget de l'Etat pour l'exercice 2010. Boubekeur Benbouzid a, dans ce cadre, précisé que 390,5 milliards DA du budget consacré à son secteur sont destinés au budget de fonctionnement pour la couverture des salaires des fonctionnaires du secteur qui dorénavant « représentent 34 % des employés de la Fonction publique ». Le montant évoqué plus haut sera également « consacré aux dépenses de maintenance des bâtisses et de matériels informatiques, à la restauration des élèves internes et demi-pensionnaires ainsi qu'à l'élargissement du raccordement des établissements scolaires au réseau Internet et à la mise en service, l'année prochaine, de la climatisation au niveau de 11 wilayas », a précisé M. Benbouzid. Il sera en outre consacré au soutien aux cantines scolaires et aux manuels gratuits dont le coût de l'impression s'élève à 6,5 milliards DA ainsi qu'au programme d'alphabétisation. Concernant le budget d'équipement, M. Benbouzid a précisé que la loi de finances 2010 a proposé un montant de 147 milliards DA qui sera consacré à la construction d'écoles primaires, CEM, lycées, cantines scolaires, salles d'informatique, salles de sport ainsi qu'au renouvellement du matériel scolaire et autres structures. Le ministre a enfin présenté un bilan général des résultats des réformes du système éducatif des dernières années. Les interrogations des membres de la commission se sont axées sur plusieurs questions relatives à l'amélioration de la performance du secteur en vue de l'adapter aux besoins actuels. Le budget du département de l'éducation « représente 16% du budget global de l'Etat » et constitue, de ce fait, « le deuxième plus important budget sectoriel proposé dans la loi de finances 2010 », a indiqué jeudi le premier responsable du secteur, devant les membres de la commission des finances et du budget de l'Assemblée populaire nationale (APN). Une occasion pour la commission, présidée par Mohamed Kenai, d'entendre et de débattre un exposé sur le budget du secteur de l'Education nationale dans le cadre des réunions consacrées à l'examen du budget de l'Etat pour l'exercice 2010. Boubekeur Benbouzid a, dans ce cadre, précisé que 390,5 milliards DA du budget consacré à son secteur sont destinés au budget de fonctionnement pour la couverture des salaires des fonctionnaires du secteur qui dorénavant « représentent 34 % des employés de la Fonction publique ». Le montant évoqué plus haut sera également « consacré aux dépenses de maintenance des bâtisses et de matériels informatiques, à la restauration des élèves internes et demi-pensionnaires ainsi qu'à l'élargissement du raccordement des établissements scolaires au réseau Internet et à la mise en service, l'année prochaine, de la climatisation au niveau de 11 wilayas », a précisé M. Benbouzid. Il sera en outre consacré au soutien aux cantines scolaires et aux manuels gratuits dont le coût de l'impression s'élève à 6,5 milliards DA ainsi qu'au programme d'alphabétisation. Concernant le budget d'équipement, M. Benbouzid a précisé que la loi de finances 2010 a proposé un montant de 147 milliards DA qui sera consacré à la construction d'écoles primaires, CEM, lycées, cantines scolaires, salles d'informatique, salles de sport ainsi qu'au renouvellement du matériel scolaire et autres structures. Le ministre a enfin présenté un bilan général des résultats des réformes du système éducatif des dernières années. Les interrogations des membres de la commission se sont axées sur plusieurs questions relatives à l'amélioration de la performance du secteur en vue de l'adapter aux besoins actuels.