Guelma Dimanche matin, les établissements scolaires ont été totalement paralysés par le débrayage des enseignants des trois cycles. En effet les enseignants ont répondu massivement au mot d'ordre lancé par le Cnapest et l'UNPEF, deux syndicats autonomes du secteur de l'Education. Dès 8 hdu matin, les élèves ont été renvoyés chez eux, ce qui a créé une animation inhabituelle dans les localités de la wilaya. Contactée à ce sujet, la secrétaire générale au sein de la Direction de l'éducation nous a affirmé que la grève aurait atteint uniquement le taux de 29,95% au niveau dans l'ensemble des structures éducatives des 34 communes. Lors d'une tournée, nous avons pu constater nous mêmes que les lycées Benmahmoud, Chaalel, Bourouaich, 1er-Novembre étaient déserts et que seuls quelques rares professeurs étaient encore à leurs postes. Hamid Baali Aïn Defla A l'appel des responsables des syndicats autonomes, la première journée de la grève a été largement suivie, car même les établissements primaires ont cessé les cours. M. Ouadani Toufik, responsable de l'UNPEF nous déclare : "Cette grève a été suivie à plus de 80% à travers toutes la wilaya; les enseignants des CEM et des lycées ont suivi nos directives. Nous avons enregistré une autre satisfaction : nos collègues des primaires ont également suivi le mot d'ordre de grève et le taux dans ces établissements est de 72%". Chems-Eddine Mourah MILA L'appel à la grève d'une semaine reconductible à partir du 08 du mois courant, lancé par le CNAPEST et l'UNPEF, que rejoindront incessamment d'autres syndicats a été largement suivi par les personnels de l'éducation des trois paliers de l'enseignement, affiliés à ces deux syndicats. Au niveau des lycées le taux de participation a atteint 98%, selon M. LAAMARA, le coordinateur de wilaya du CNAPEST tandis qu'au niveau des collèges d'enseignement moyen et des écoles primaires le taux de participation, selon M. LAAMRI ZEGAR Abdelouahab, le coordinateur de wilaya de l'UNPEF, oscille entre 75 et 80%. Zaoui Abderaouf Boumerdès L'appel à la grève de huit jours lancé par l'Intersyndicale de la fonction publique et les syndicats autonomes de l'éducation, a été massivement suivi dans les établissements scolaires de la wilaya de Boumerdès. En effet, les lycées de la wilaya ont été totalement paralysés par ce débrayage. Les animateurs de cette action, notamment, le principal acteur, le Cnapest, avancent un taux de 100% de suivi. Au chef-lieu de wilaya, dans les lycées Al Khalifa et Franz Fanon, les enseignants se sont mobilisé pour la réussite de cette action. Tahar Ounas El Tarf Les écoles primaires ainsi que les collèges et les lycées ont été paralysés, selon des responsables syndicaux à 96% à travers la wilaya d'El Tarf qui compte une population scolarisée de 92.000 élèves. Pour cette première journée l'on pourrait dire que les syndicats ont réussi leur coup de force. Dès la première heure des séances de la matinée, les jeunes potaches ont été renvoyés chez eux; l'ensemble des enseignants ainsi que les adjoints d'éducation ont refusé catégoriquement d'assurer les services. Ce sont les décisions prises récemment par le chef du gouvernement qui ont mis en colère la corporation enseignante. Hormis les suppléants et les contractuels qui ont assuré les cours, certains élèves influencés par les autres ont même refusé de rejoindre les classes. Mourad Saber Constantine Le débrayage d'une semaine reconductible, décidé par plusieurs syndicats du secteur de l'éducation, a enregistré, pour son premier jour, une large mobilisation dans les établissements scolaires de Constantine.Dans les deux paliers où les syndicats sont autonomes et bien ancrés, à savoir le secondaire et le moyen, la couleur a été annoncée dès huit heures. Les élèves qui ont franchi les enceintes de leurs établissements respectifs, ont été gérés par le personnel de surveillance pendant une quinzaine de minutes avant d'être libérés. C'est dans l'enseignement primaire que le mouvement contestataire a connu quelques perturbations. Le suivi de la grève variait d'une circonscription à l'autre. Naima Djekhar Guelma Dimanche matin, les établissements scolaires ont été totalement paralysés par le débrayage des enseignants des trois cycles. En effet les enseignants ont répondu massivement au mot d'ordre lancé par le Cnapest et l'UNPEF, deux syndicats autonomes du secteur de l'Education. Dès 8 hdu matin, les élèves ont été renvoyés chez eux, ce qui a créé une animation inhabituelle dans les localités de la wilaya. Contactée à ce sujet, la secrétaire générale au sein de la Direction de l'éducation nous a affirmé que la grève aurait atteint uniquement le taux de 29,95% au niveau dans l'ensemble des structures éducatives des 34 communes. Lors d'une tournée, nous avons pu constater nous mêmes que les lycées Benmahmoud, Chaalel, Bourouaich, 1er-Novembre étaient déserts et que seuls quelques rares professeurs étaient encore à leurs postes. Hamid Baali Aïn Defla A l'appel des responsables des syndicats autonomes, la première journée de la grève a été largement suivie, car même les établissements primaires ont cessé les cours. M. Ouadani Toufik, responsable de l'UNPEF nous déclare : "Cette grève a été suivie à plus de 80% à travers toutes la wilaya; les enseignants des CEM et des lycées ont suivi nos directives. Nous avons enregistré une autre satisfaction : nos collègues des primaires ont également suivi le mot d'ordre de grève et le taux dans ces établissements est de 72%". Chems-Eddine Mourah MILA L'appel à la grève d'une semaine reconductible à partir du 08 du mois courant, lancé par le CNAPEST et l'UNPEF, que rejoindront incessamment d'autres syndicats a été largement suivi par les personnels de l'éducation des trois paliers de l'enseignement, affiliés à ces deux syndicats. Au niveau des lycées le taux de participation a atteint 98%, selon M. LAAMARA, le coordinateur de wilaya du CNAPEST tandis qu'au niveau des collèges d'enseignement moyen et des écoles primaires le taux de participation, selon M. LAAMRI ZEGAR Abdelouahab, le coordinateur de wilaya de l'UNPEF, oscille entre 75 et 80%. Zaoui Abderaouf Boumerdès L'appel à la grève de huit jours lancé par l'Intersyndicale de la fonction publique et les syndicats autonomes de l'éducation, a été massivement suivi dans les établissements scolaires de la wilaya de Boumerdès. En effet, les lycées de la wilaya ont été totalement paralysés par ce débrayage. Les animateurs de cette action, notamment, le principal acteur, le Cnapest, avancent un taux de 100% de suivi. Au chef-lieu de wilaya, dans les lycées Al Khalifa et Franz Fanon, les enseignants se sont mobilisé pour la réussite de cette action. Tahar Ounas El Tarf Les écoles primaires ainsi que les collèges et les lycées ont été paralysés, selon des responsables syndicaux à 96% à travers la wilaya d'El Tarf qui compte une population scolarisée de 92.000 élèves. Pour cette première journée l'on pourrait dire que les syndicats ont réussi leur coup de force. Dès la première heure des séances de la matinée, les jeunes potaches ont été renvoyés chez eux; l'ensemble des enseignants ainsi que les adjoints d'éducation ont refusé catégoriquement d'assurer les services. Ce sont les décisions prises récemment par le chef du gouvernement qui ont mis en colère la corporation enseignante. Hormis les suppléants et les contractuels qui ont assuré les cours, certains élèves influencés par les autres ont même refusé de rejoindre les classes. Mourad Saber Constantine Le débrayage d'une semaine reconductible, décidé par plusieurs syndicats du secteur de l'éducation, a enregistré, pour son premier jour, une large mobilisation dans les établissements scolaires de Constantine.Dans les deux paliers où les syndicats sont autonomes et bien ancrés, à savoir le secondaire et le moyen, la couleur a été annoncée dès huit heures. Les élèves qui ont franchi les enceintes de leurs établissements respectifs, ont été gérés par le personnel de surveillance pendant une quinzaine de minutes avant d'être libérés. C'est dans l'enseignement primaire que le mouvement contestataire a connu quelques perturbations. Le suivi de la grève variait d'une circonscription à l'autre. Naima Djekhar