LETTRE OUVERTE A Mohammed Tahar Chalal, DIRECTEUR GENERAL DE L'ANEM ALGERIE En tant qu'intellectuel oranais, oui j'aime bien citer ce mot (intellectuel) car je le suis et fier de l'être, tout en faisant confiance à mes capacités de servir dans la société de façon expérimentale voire certaine bien sure. Enfin, je me présente d'une façon claire par l'intermédiaire de ma lettre ouverte à votre intention et dans laquelle je désire exprimer le mal et le mauvais traitement que j'ai eu avec vos agences d'Oran, donc voilà ce qui m'a poussé à s'adresser à vous en vous écrivant et en vous réécrivant de maintes lettres et à maintes reprises sans aucune réponse et sans aucune suite transmises de votre pars et pourtant je vous ai bien expliqué la situation afin d'intervenir en votre qualité de D.G . Vu que vous êtes seule décideur à la tête de cet organisme de soutien à l'emploi. Vu que ceux qui décident vous ont officialisé d'une mesure de décider si je travaille ou pas. Vu que vous êtes aussi en mesure d'imposer ce que bon vous semble à tous ces 38 millions de chômeurs et les 38 millions de jeunes cobayes qui meurent à feu doux et dont je suis le 38 millionième. Dans un adage populaire on dit ‘'Mieux vaut s'adresser à la bonne personne qu'à la mauvaise'', c'est ce que j'ai essayé et réessayé de tenter Monsieur, sans aucune estimation et sans me rendre compte de la personne inutile pour qui j'ai écrit malheureusement, et j'en suis désolé pour cet odieux comportement qui infecte notre société, une société qui exige un maximum d'abnégation de votre pars et de la pars de tout l'ensemble de nos faiseurs de société, ces faiseurs de désillusions. Sans me prendre pour un faiseur de moral sachez, Monsieur le D.G, qu'un responsable à des problèmes à résoudre, il a aussi le droit de rendre le tablier s'il a conscience de son inutilité, donc vous ! vous nous imposez votre suprématie autoritaire si je me détrompe en échappant toute la souffrance d'une jeunesse qu'elle a déjà assassiné ses lendemain tandis qu'un Courriel, un Fax et une adresse existent inutilement !! Mais moi j'appelle ça de l'inconscience professionnelle et du je-m'en-foutisme Monsieur le D.G. Pourquoi ? Parce que j'étais effroyablement déchanté par cette idole FACEBOOKIENNE que vous l'êtes, irrecevable aussi par vos services locaux dont la majorité de ces recrus sont incompétents alors qu'il était question d'intervenir lorsque je vous ai rédigé une lettre bien détaillée dans laquelle je vous ai expliqué de A à Z ce qui m'est arrivé, je vous ai même attaché ma plainte via votre messagerie FACEBOOK. Certes et malheureusement, c'est avec le virtuel que vous étiez occupé. Et la veille, vous vous êtes même déplacé à Oran pour tenir une conférence, sur l'inutile je voulais dire, puisque la tribune était presque vide. Monsieur le D.G, Mon expérience dans le domaine culturel ne date pas d'aujourd'hui et j'avoue que j'étais et que je suis toujours à la hauteur surtout lorsqu'on m'a découvert au niveau international comme au Canada où je me suis facilement intégré à la culture contemporaine québécoise, aux Etats Unis où je me suis ouvertement aventuré pour la réalisation de mon grand et unique reportage photographique dans la ville de El-Kader-City et en France là-où je suis souvent reçu à bras ouverts et c'est le contraire que je suis entrain de subir dans mon propre chez-soi puisque tout est centralisé par ceux qui mènent les consultations.....Et j'en passe mes mots. Désordonné, méprisant et inacceptable sont les qualificatifs pour décrire le fonctionnement de l'ANEM. Toute personne en Algérie devrait pouvoir avoir un emploi lui permettant de mener une vie digne comme celle que vous menez dans votre propre chez-vous Monsieur le D.G, et l'insuffisance d'emploi est un signe de pauvreté ce qui pousse à l'exode nos 38 millions de souffre-douleurs de crainte d'être anéantis par les décideurs et ceux qui décident en Algérie et c'est bien dommage pour un si riche pays. ‘'Oh, pauvre Algérie qu'a-on-fait de toi''!!! Voilà ce que mon père disaient souvent. Quant-à-moi, je vous ai jamais côtoyé, Monsieur le D.G, mais j'essaye quand même à vous sensibiliser, peut-être, par le biais de mes écrits, et voici un modèle d'honnêteté d'un algérien considéré comme étranger dans son propre pays. FERHAOUI Nour El Yakine Photoreporter et Dessinateur en chômage * facebook * twitter * google+