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Les seventies : une �Love Story�
Publié dans Le Soir d'Algérie le 05 - 11 - 2012

Certains pensent trouver dans la parade une reconnaissance ou encore une forme de gratification dans le d�nigrement, n'y vont pas de main-morte pour qualifier nos belles ann�es soixantedix (70), de stupides. Une aberration !
Ces gens, nous les comparons aux vieilles comm�res des temps anciens qui, pour tuer le temps, s'�changeaient des gal�jades. Dans l'impossibilit� d'apporter une v�rit� assertorique, encore moins apodictique et dans ce cas la d�monstration n�cessitera un raisonnement pointilleux dont ils ne sont pas capables, pr�f�rent d�s lors se rabattre dans le slogan mystificateur. Bien avant nous, d'illustres compatriotes qualifiaient les �seventies� de b�nies pour notre pays, d�j� � l'avant-garde du modernisme. Durant cette d�cennie, il �tait bon de se r�clamer du �situationnisme � car nous ne menions pas une vie de pacha et de farniente mais cela ne nous emp�chait pas de suivre une mode vestimentaire sans que notre apparence d'homme ou de femme ne se r�duisait � la culture occidentale. La mode issue de cr�ateurs des grandes capitales europ�ennes ne tardait pas � atterrir � Alger et dans les grandes villes de l'immense Alg�rie. C'est ainsi qu'avec l'av�nement des grands festivals de jeunesse :
- Woodstock 1969
- Ile de Wight 1970
- Et le grandiose et super
Festival panafricain d'Alger, juillet 1969 appara�t en Europe un mouvement qui pr�ne le retour aux valeurs essentielles et un happening constant de l'existence. Un nouveau mode de vie qui gagnait en vulgarisation, n'�chappa pas aux oreilles attentives des grands noms de la mode masculine et f�minine, inspir�e en partie d'Afrique du Nord :
- la chemise � fleurs
- le pantalon pattes d'EPH et tube
- le clark
- le manteau maxi (semblable � celui port� par Henry Fonda, dans Il �tait une fois dans l'Ouest)
- la saharienne
- robes longues �paysanne �,
- le bandeau, serre-t�te � la Hair.
Chez nous, le bonheur des jeunes de s'habiller, se chausser qui cadre le mieux avec le plaisir, ne r�sidait pas dans la n�cessit� made in... L'Alg�rie regorgeait d'hommes de m�tier, vers�s dans le secteur de l'habillement :
- cr�ateurs
- confectionneurs
- tailleurs, couturiers
- trimmer
- chausseurs
- habilleurs chemisiers
Les magasins d'Etat et priv�s, dont certains appartenant � des expatri�s, �taient beaucoup plus concentr�s sur les grandes art�res des villes comme par exemple Alger, les propri�taires ou g�rants pouvaient se targuer d'offrir le m�me produit en vitrine � Paris, Londres ou New York. Il faut rappeler qu'� cette �poque, la culture dans toutes ses composantes ne souffrait d'aucune contrainte dans son mode op�ratoire. Le cin�ma, le th��tre, la t�l�vision, la musique et les activit�s diverses n'ont jamais connu une p�riode aussi florissante. Les joies culturelles d'une g�n�ration ont �t� bien comprises par les pouvoirs publics. C'est ici que nous plantons d�finitivement le d�cor des �seventies�. Pour le souvenir �ternel. On appellera �a une histoire d'amour (love story).


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