Les petite phrases �assassines� du pr�sident de l�Assembl�e populaire communale, d�ob�dience RCD, ciblant le pr�c�dent ex�cutif de la municipalit�, FFS, install� durant le scrutin controvers� de 2002 et brocardant sa gestion �catastrophique�, n�ont fait que raviver les tensions politiques qui excitent entre les structures politiques des deux formations politiques. La sortie du maire n�est pas rest�e sans r�action des �lus d�abord et de leur entit� politique ensuite. Le FFS r�plique et part � l�offensive pour plaider la cause de ses �lus. La structure politique locale de ce parti �r�fute toutes les accusations� port�es � l�encontre de ses �lus, nouveaux et anciens. La d�claration publique du maire, qualifi�e de �grave�, au nom de l�assembl�e, accusant les �lus FFS sortants d�avoir �dilapid� les biens communaux, aurait �t� la goutte de trop et fait r�agir la structure politique du FFS qui rappelle au premier magistrat de la commune qu�il n�est �nullement habilit� et mandat� par l�assembl�e sans que cette derni�re ne d�lib�re sur l�ordre du jour de la d�claration�. A lire entre les lignes, la d�claration qui porte le sceau de la section FFS de Larba�-Nath-Irathen s�en prend plus aux cadres locaux du RCD qu�aux �lus. A travers cette d�clarationr�plique, le FFS tire plut�t sur le conseil communal du RCD et insinue qu�une �assembl�e parall�le a eu � si�ger dans la clandestinit� en des lieux occultes sans la participation des �lus l�gitimes�. S�exprimant plus loin au nom des �lus, le FFS r�v�le, dans ce sens un cas de �violation des dispositions contenues dans le code communal�. La maire aurait �galement, dans sa d�claration rendue publique, r�primand� les �lus actuels FFS et rassure qu�une mission d�audit serait l�un des objectifs de son �quipe. Un projet qui ne peut �tre que �soutenu et cautionn� par le FFS, militants et �lus, �dans le cadre d�une gestion transparente� et qui �doit s��taler sur la p�riode de trois mandats�, conclut la d�claration. J. L. Hassani Journ�es d��tude sur la probl�matique de la gestion des d�chets m�nagers Si la gestion des d�chets m�nagers est per�ue comme un probl�me d�environnement, elle constitue �galement une question de d�veloppement durable et d�am�nagement du territoire. Une politique volontariste de pr�vention des d�chets s�impose, elle implique les collectivit�s et d�autres acteurs. Cette question qui conna�t une acuit� nouvelle dans la mesure o� on assiste � la production de plus de d�chets sera au centre des d�bats lors des journ�es d��tude sur la probl�matique de la gestion des d�chets m�nagers que compte organiser, les 10 et 11 mai prochains, la commission environnement � l�Assembl�e populaire de wilaya. Ce forum est annonciateur de la prochaine session sur le m�me th�me que tiendra l�APW � la fin de ce mois. L��tat des lieux, l�approche socio�conomique et la gestion technique des d�chets focaliseront les d�bats lors des communications que de nombreux sp�cialistes de la question environnementale pr�senteront. Des ateliers traiteront de la probl�matique d�identification des sites et des modalit�s de gestion et d�exploitation d�un site d�une d�charge contr�l�e. D�velopper, en zone urbaine, la gestion int�gr�e des d�chets m�nagers est une �uvre ambitieuse qui requiert la collaboration de tous les acteurs n�cessitant la pr�vention, le tri et la r�cup�ration et enfin le recyclage et la valorisation. Tous ces param�tres gravitent autour de l�information et de la sensibilisation. A court et moyen termes, l�ouverture de nouveaux centres d�enfouissement et d�incin�ration devient une question urgente. Cette n�cessit� emporte des enjeux de relations entre les collectivit�s, ceux qui produisent des d�chets et ceux qui les traitent.