Il ne me reste plus que le ministre des Finances � qui je n�ai pas �crit. Ma situation se r�sume comme suit. Je devais en principe commencer � toucher ma pension de la Caisse nationale assurance vieillesse (CNACV) d�but 2005, j�ai vers� 2 248 euros pour le rachat des cotisations � cette caisse par l�interm�diaire de l�agence BEA de Laghouat depuis 2003-2004, mais cette somme n�est jamais parvenue � destination. Les explications de la Direction des op�rations avec l��tranger au niveau d�Alger de la Banque ext�rieure d�Alg�rie (BEA) maintient que le transfert a bien �t� fait. La CNAV fran�aise � qui nous nous sommes adress�s � plusieurs reprises soutient mordicus que les fonds n�ont jamais �tre r�ceptionn�s par leur banque, en l�occurrence la BRED. Au niveau de l�agence de la BEA de Laghouat, la proc�dure du transfert a �t� ex�cut�e. La confirmation dont en principe, nous semble-t-il, de la direction g�n�rale � Alger qui semble ne pas prendre en consid�ration nos multiples r�clamations que d�ailleurs nous ne pouvons faire � notre niveau qu�� l�Agence BEA de Laghouat. La responsable du dossier au niveau de cette agence n�a m�nag� aucun effort m�me en contactant par swift la banque fran�aise pour confirmer la r�ception, r�f�rences d�envois � l�appui mais en vain. La banque fran�aise la BRED � qui nous nous sommes adress�s directement ne nous a pas r�pondu non plus. Il y a lieu de souligner le s�rieux et les efforts soutenus par la charg�e de ce dossier qui continue � activer afin d�aboutir � une solution �quitable. Il est malheureux par contre de constater que la direction des op�rations avec l��tranger de la BEA � Alger ne s�implique plus s�rieusement. La banque fran�aise, la BRED, elle fait pendant ce temps la sourde oreille. Toutes mes �conomies ont �t� investies dans cette op�ration. Est-ce que l�espoir est permis ? Derradji Kaddour chez Nasri Baghdadi, BP : 247, 03400, Aflou, (w. Laghouat)
La revalorisation annuelle des pensions ne doit pas cr�er de nouvelles injustices Nous avons �t� surpris d�apprendre que la revalorisation des pensions de retraite au titre de l�exercice 2006 a rev�tu un fait discriminatoire � l�encontre d�une cat�gorie de retrait�s. En effet, le conseil d�administration de la CNRA a d�cid� pour cet exercice de porter le taux de revalorisation � 2% pour ceux inscrits apr�s le 01/02/1992 en revanche ceux inscrits avant le 31/12/1991 a �t� port� � 8%. Cette d�cision qui a pour explication de d�shabiller Ali pour habiller Tahar ne justice nullement que les retrait�s inscrits avant le 31/12/1991 ne b�n�ficiaient pas � l��poque o� ils �taient actif d�une r�mun�ration salariale consistance, car les cotisations support�es pendant de longues ann�es par ceux inscrits apr�s le 01/01/1992 �taient nettement sup�rieures � ceux d�avant le 31/12/191 ; les temps ont �volu�, les r�mun�rations avec, mais le pouvoir d�achat en pleine d�t�rioration demeure le m�me pour tous sans discrimination. C�est pourquoi les taux initialement per�us � savoir 4%, c�est un acquis, sa remise en cause pour des raisons sociales demeure juridiquement infond�e et l�se injustement l�ensemble des retrait�s concern�s par cette mesure discriminatoire. Si les initiateurs de cette injuste d�cision veulent verser dans le social, ils n�ont qu�� interpeller les pouvoirs publics � l�effet de supprimer l�IRG pour cette cat�gorie de retrait�s � revenus non consistants et ce n�est que justice rendue. Nous souhaitons que notre appel soit publi� et entendu par toutes les parties int�ress�es afin de revenir sur leur d�cision.