Les circonstances dans lesquelles a eu lieu la noyade de l'étudiante de 31 ans, dont le corps a été repêché dans la soirée de lundi, à moins d'un mille au large de Ras El Hamra n'ont toujours pas été expliquées par les enquêteurs de la Gendarmerie nationale chargés du dossier. Nous apprenons de sources proches de ce corps de sécurité que l'enquête en cours se poursuit et que pour l'heure les éléments de la brigade de recherches ne négligent aucune piste, même si la thèse du suicide serait la plus probante, compte tenu du fait que l'autopsie pratiquée sur la jeune femme n'a pas révélé de traces d'agression, affirme-t-on. Une proche de la malheureuse résidant dans le quartier Beauséjour d'Annaba aurait déclaré aux enquêteurs que celle-ci était particulièrement angoissée ces dernières semaines et qu'elle l'aurait même prévenu qu'elle pourrait avoir un malheur incessamment. Du côté de la justice, il n'a pas été possible d'en savoir plus, secret des investigations oblige, sauf que l'étudiante préparait un magistère en histoire au niveau du campus de Sidi Amar et qu'elle menait une vie normale jusqu'ici. Affaire à suivre