Mustafa Abdul Jalil, président du Conseil national de transition à Benghazi en 2011, admet: «El Gueddafi n'a pas ordonné la fusillade qui a été à l'origine de la fausse révolution en Libye.» Maintenant, après la destruction de la Libye, Jalil avoue au monde sur Channel One que les manifestants qui ont été tués à Benghazi et qui ont été le prétexte fourni à l'ONU et à l'Otan pour attaquer la Libye ont été tués par un groupe d'espions et de mercenaires qui n'étaient pas de Libye. Il admet qu'il savait la vérité à l'époque, mais cela a été fait pour abattre le gouvernement libyen et briser l'Etat. Il admet qu'il a été informé à l'avance que cela allait se produire et que les gens de la Libye n'ont pas reconnu les manifestants morts, parce qu'ils portaient des vêtements civils et que personne n'a assisté à leurs funérailles vu qu'ils n'avaient pas de parents ou d'amis en Libye.