Suite à la dissidence manifeste et la décision du numéro 2 du Mouvement pour la société et la paix (MSP), Menasra, de créer son propre parti politique, la direction du MSP, sous l'égide de Abou Djerra Soltani, est sortie de sa réserve en décidant de lâcher les parlementaires des deux chambres qui se sont exprimés publiquement en faveur de Menasra. D'abord en gelant toute relation organique des députés et des sénateurs, au nombre de neuf, et de décliner sa responsabilité quant à toutes les déclarations publiques qu'ils feront désormais au nom du MSP.