Depuis bientôt deux années, deux personnes responsables (MM. CH. F. et T. M.) dans l'administration de l'Ecorep de Béni-Saf ont, par pure méchanceté, juré ma perte. “J'affamerai tes enfants”, m'avait lancé à la figure M. CH. F. Ayant réussi à me soustraire de leurs griffes et me trouvant actuellement en pré-retraite forcée, ceux-ci ne trouveront rien de mieux que de bloquer mes droits pécuniaires de départ à la retraite, soit quelque 70 millions de centimes. J'en appelle à votre concours pour m'assister dans la forme qui vous agréerait au mieux dans la traversée du désert dans laquelle je me trouve acculé aujourd'hui car je projette sciemment de mettre fin à mes jours en guise de protestation contre la hogra dont je suis victime. En bloquant ainsi mon dossier, ces deux personnes s'installent dans l'illégalité la plus totale. Mais, est-on à une violation près des textes ? En tout état de cause, la lettre que voici, et qui prolonge une série d'une dizaine d'autres, raconte par le menu toutes les hérésies, toutes les tyrannies, tous les dénis et toutes les stupidités d'une République sous-bananière malmenée par des servants serviles en mal d'autoritarisme. Ne disposant pas de relations de puissance, handicapé de surcroît par un total illettrisme, je vous prie M. le président de la République de bien vouloir intercéder afin de faire progresser, un tant soit peu, ma pénible situation M. Rachedi Noreddine, ex-chef de service production Ecorep 4, rue Ghar-El-Baroud, Béni-Saf