Abdelkader Hadjar veut placer deux de ses frères et quelques membres du mouvement putschiste de “redressement” contre le Front de libération nationale (FLN), piloté par le chef de la diplomatie algérienne, à la Sonatrach. L'ambassadeur d'Algérie à Téhéran (Iran) ne cesse, en effet, nous dit-on, depuis quelque temps, de harceler le chef de cabinet du ministre de l'énergie et des mines Chakib Khelil à cet effet. Décidément, les putschistes créés et drivés par Saïd Bouteflika, le tout-puissant frère conseiller du président de la République, se croient tout permis.