Réagissant à l'interdiction par l'état civil de prénoms amazighs, sujet traité récemment dans un dossier publié par Liberté, Me Farouk Ksentini a estimé que cela “est l'œuvre de petits fonctionnaires zélés", avant de condamner cette interdiction. Et de préciser que les Algériens sont libres de prénommer leurs enfants comme ils veulent et que cela relève de la liberté et du droit de tout un chacun. M. M.