Après avoir épuisé toutes les voies de recours ordinaires et extraordinaires, des personnes de l'ombre, agissant au nom de Sotramo, utilisent la presse en racontant des mensonges. 1°/ La Sotramo Oran n'emploie que 196 travailleurs et non 4 000 comme porté sur l'article, 2°/ Il s'agit, dans cette affaire, de l'exécution d'une décision de justice rendue définitive par voie de saisie qui est en délibéré, rappelons que soi-disant la transaction entre Sotramo et la société étrangère portant sur le matériel qui m'a été vendu et se trouvant sous saisie conservatoire a été annulée par un jugement rendu le 21 juin 1994 par le tribunal d'Arzew et confirmée par la cour d'Oran le 8 juillet 1995 et la Cour suprême en date du 23 février 2000. Suite à une plainte pénale que j'ai portée auprès du juge d'instruction, le PDG de Sotramo a été condamné ainsi que les dirigeants de la société étrangère. Un appel ayant été introduit devant la cour d'Oran a confirmé la condamnation et statuant à nouveau sur l'action civile en incombant les sociétés Ingra-Hydroelectra et Sotramo, le 09 décembre 1996; chose qui a été confirmée par la Cour suprême qui a rejeté le pouvoir introduit par le PDG de Sotramo en date du 10 février 1999. La société Sotramo, qui voulait se soustraire en rapportant qu'elle n'a jamais fait partie aux différents procès, introduit une opposition près la cour d'Oran chambre pénale qui a rendu un arrêt en date du 20 mai 2002 rejetant l'opposition de Sotramo. Les jugements et les arrêts définitifs qui sont en ma possession, sont rendus au nom du peuple algérien et exécutoires, notamment les arrêts de la Cour suprême, et que Monsieur le président de la République, à chaque ouverture de l'année judiciaire, persiste sur l'exécution des décisions de justice ainsi que le ministre de la Justice garde des Sceaux qui avait appelé devant l'APN au respect et à l'exécution des décisions judiciaires. Les soi-disant révélations de Sotramo ne sont que des manipulations afin d'empêcher l'exécution de toutes les décisions de justice qui ont acquis l'autorité de la chose jugée, et que l'exécution du jugement, revêtu de la formule exécutoire, concrétise l'état de droit et a pour objectif de refléter la crédibilité de la justice et des jugements qu'elle prononce au nom du peuple algérien et que ces jugements ne peuvent en aucun cas faire l'objet de rétraction ou de révision en vertu de l'article de presse. Mohamed ABDELMOULA NB : En publiant cette enquête, Liberté n'avait aucune intention de vouloir influer sur la justice, d'autant que l'affaire est en délibéré. Le dernier mot revient à la justice.