Les stations d'arrêts de bus du Grand-Alger souffrent énormément du manque de commodités. Ces abribus construits à la hâte ne possèdent même pas un banc qui permettrait aux usagers de s'asseoir durant la longue attente. Le week-end dernier, une parturiente a failli accoucher à la station de bus du 1er-Mai (ex-Champ-de-Manœuvre). N'était le secours des citoyens, la pauvre dame aurait perdu connaissance. Loin de réclamer le confort, des bancs suffiraient pour prétendre nommer ces lieux d'arrêts de bus.