EL-TARF : Les espaces verts abandonnés à leur triste sort Lors de la visite des nombreux projets en voie de réalisation à El-Tarf, récemment, le wali, M. Belkateb, a mis en garde le président d'APC sur le manque d'entretien des espaces verts de sa municipalité alors qu'il dispose de l'affectation de pas moins de cent attributions de la direction de l'emploi des jeunes. La majorité des espaces verts se caractérisent par un abandon total des agents communaux qui ont été recrutés dans ce sens. Ces espaces, avait-il dit, ont coûté beaucoup d'argent au trésor public, leur entretien permet à de nombreux citoyens de se divertir et de prendre une bouffée d'oxygène si ces espaces sont périodiquement entretenus et débarrassés des souillures. Il est vrai que ces lieux doivent jouer leur rôle et faire profiter les occupants des nombreuses cités dortoirs. Lors de cette visite d'inspection et de travail, le wali a constaté de visu le manque de considération pour ces lieux devenus dans leur majorité des espaces vagues jonchés d'ordures. La municipalité d'El-Tarf est en réalité propriétaire de ces espaces abandonnés à leur triste sort depuis l'inauguration des nouvelles cités. Des habitants de la cité 1 000-Logements visitée ce jeudi ont interpellé le wali sur a dégradation des lieux par manque d'entretien. Le "désengagement" de la municipalité a laissé le champ libre à ces jeunes en proie à l'oisiveté qui les saccagent en toute impunité ; certaines clôtures sont ainsi arrachées, les bois sont détruits. Les pelouses en béton sont fortement abîmées, au grand regret de leurs utilisateurs qui n'ont, désormais, plus d'espaces de jeu. Tahar BOUDJEMAA Khenchela : Les immeubles de Dika menacent de s'effondrer Les résidents des immeubles Dika, au centre-ville de la wilaya de Khenchela, datant de l'époque coloniale, crient leur détresse et veulent que les responsables concernés prennent au sérieux le risque d'effondrement de leurs bâtiments, qui présentent un danger pour la sécurité des occupants ou des passants qui sont confrontés à un réel danger de mort. À signaler que les toits délabrés, les odeurs nauséabondes qui se dégagent des sous-sols et les eaux usées inondant et débordant de leurs caves, aggravant un peu plus la situation. Un calvaire qui a duré si longtemps. Les résidents demandent l'intervention rapide du wali pour protéger les résidents. Siham boughediri