Les médias publics ont préféré passer sous silence la conférence de presse animée mardi par l'ex-chef de l'AIS, Madani Mezrag. Renseignements pris, les responsables de la télévision, des quatre chaînes de radio et ceux des journaux du secteur public ont été instruits de ne pas couvrir l'événement. Il est à se demander pourquoi les autorités choisissent la politique du black-out au lieu de demander au concerné de s'abstenir de faire ce genre de déclarations qui blessent les familles des victimes du terrorisme.