Une femme de chahid et ancienne moudjahida ne cesse de subir les affres des bavures administratives dans la région de Relizane. Considérée comme mariée après le décès de son premier mari, la veuve Bakhta Banamara, a vu sa pension suspendue par l'administration de la wilaya de Relizane sans aucun autre motif palpable. Documents à l'appui (brevet de pension, attestation de non-divorce…), sans compter les rapports signés en sa faveur par les délégués des daïras de Aïn Tarik et de Ammi Moussa, la victime interpelle le ministère de tutelle et crie sa douleur, car lésée dans ses droits.