Bien qu'accueillie avec satisfaction par les présidents de clubs, la cession d'une superficie de l'ordre de 1 hectare aux équipes de D1 et D2 afin d'y bâtir des terrains d'entraînement suscitent des interrogations. En effet, les observateurs s'interrogent pourquoi le MJS n'a pas pu arracher de l'Exécutif une surface plus large, puisque lors du dernier conseil interministériel consacré au football de 2002, à l'époque du ministre Benbouzid, les accords signés dans le document portant refondation du football national prévoyaient d'accorder aux clubs une superficie de 4 à 5 hectares. Pourquoi donc ce recul des politiques surtout lorsqu'on sait que les clubs ne peuvent pas faire grand-chose avec un seul hectare ? S. B.