Après la brillante prestation de BHL, c'est au tour de son co-élu Cohn Bendit de monter au créneau. Pour « punir » Poutine, le pédophile sioniste franco-allemand exige le boycott de la Coupe du monde de foot 2018 en Russie. Dans ce brouillamini, le journaliste Jacques Saphir met en exergue cette politique à double standard. Pour l'auteur de l'article « La Crimée et le Droit », si l'on accepte le point de vue américano-européen selon lequel ce qui s'est passé à Kiev est une révolution, et si l'on s'accommode des violations de la Constitution qui en résultent, alors il faut être cohérent et ne pas parler d'illégalité quand la Crimée fait la même chose : « Si l'on considère que les anciennes règles ne sont plus valables, cela est vrai aussi pour le gouvernement de la Crimée. En tout état de cause, on ne peut appliquer un principe de droit à Kiev et un autre à Simféropol... ». Jacques Saphir signale que « les villes d'Odessa et de Nikolaïev ont déjà demandé leur rattachement à la Crimée ; demain, il est à prévoir qu'elles demanderont aussi d'organiser un référendum sur le rattachement à la Russie... Les dirigeants de l'UE et des Etats-Unis ont ouvert la boîte de Pandore... » « Une centaine de membres de l'armée privée de Blackwater-Academi patrouillent dans Kiev, tandis que d'autres tentent de mater la révolte à Donetsk. Officiellement, ils sont là sur invitation du nouveau régime pro-occidental. Fer de lance de l'invasion US qui tente de consolider le régime et de briser toute résistance, ils ont déjà trempé leurs mains dans le sang à Donetsk... », nous dit Israël Shamir dans un article intitulé « Le pendule ukrainien ». Plus explicite encore, l'auteur de cet article révèle les dessous des cartes : « Tandis que Poutine suivait les compétitions à Sotchi, la révolution brune se déroulait en Ukraine... Une coalition d'ultranationalistes ukrainiens et d'oligarques principalement juifs vient de s'emparer du pays. Le président légitime a été forcé de s'enfuir pour sauver sa peau. Des membres du Parlement ont été malmenés, et dans certains cas on a pris leurs enfants en otage pour s'assurer de leur vote, tandis que des hommes en armes perquisitionnaient chez eux. Le putsch était bouclé. L'Occident reconnaissait aussitôt le nouveau gouvernement, mais non la Russie... La véritable histoire se déroule en ce moment en Crimée et en Ukraine orientale, et c'est celle de la résistance au coup d'Etat pro-occidental... » « Les oligarques qui ont financé l'opération Maïdan se sont partagé le butin : le bienfaiteur le plus généreux, le multimilliardaire Igor Kolomoïski, a reçu le fief de la ville russophone de Dniepropetrovsk. On ne lui a pas demandé de rendre son passeport israélien. Ses frères en oligarchie ont pris d'autres villes russophones, y compris Kharkov et Donetsk, la Chicago ukrainienne, ou sa Liverpool. Kolomoïski n'est pas simplement un « oligar-que d'origine juive », mais un membre actif de la communauté, un supporteur d'Israël et un donateur de nombreuses synagogues, dont l'une est la plus grande d'Europe. Il n'était nullement gêné de soutenir les néo-nazis, même ceux qui ont été interdits de séjour aux USA pour antisémitisme déclaré. Et c'est bien pour cela que les appels à la conscience juive contre le putsch brun ont exemplairement échoué. »