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«Le retrait partiel des troupes russes est la preuve d'un échec»
Publié dans La Nouvelle République le 22 - 03 - 2016

Depuis une semaine, et jusqu'au 24 mars 2016, se tient à Genève le deuxième round des négociations intersyriennes sous l'égide des Nations unies.
Dans un entretien au Monde, au Guardian et au Frankfurter Allgemeine Zeitung, Mohamed Allouche, membre du bureau politique du groupe armé salafiste Jaich Al-Islam et négociateur en chef de la délégation du Haut Comité des négociations (HCN), qui représente les principaux groupes de l'opposition, est revenu, dimanche 20 mars, sur les polémiques, les débats et les attentes de ces pourparlers, marqués par l'annonce par la Russie du retrait partiel de ses troupes en Syrie. Le chef de la délégation gouvernementale, Bachar Al-Jaafari, vous a qualifié de «terroriste» et a dit qu'il n'y aurait pas de pourparlers directs avec l'opposition tant que vous ne vous serez pas excusé pour avoir dit que la transition commencerait «avec le départ [du président] Bachar Al-Assad ou sa mort». Allez-vous vous excuser ? Ce n'est pas exactement ce que j'ai dit. J'ai transmis le message du peuple syrien, qui est que la peine de mort est ce qui attend Bachar Al-Assad dans un procès équitable et il sera déféré devant un tribunal. Comment pourrais-je m'excuser de quelque chose qui est pour moi un objectif et un vœu ? Bachar Al-Assad accuse tout le peuple syrien de terrorisme. Toute personne qui s'oppose à lui est un terroriste. C'est donc normal qu'un employé de Bachar Al-Assad pense la même chose. Le Hezbollah veut rester en Syrie jusqu'à la défaite des djihadistes Le Hezbollah continuera de combattre au côté du régime syrien jusqu'à la défaite des djihadistes de l'organisation Etat islamique (EI) et du Front Al-Nosra, branche locale d'Al-Qaida, a insisté lundi 21 mars le chef de la formation chiite libanaise, Hassan Nasrallah. « Tant que nous avons la responsabilité d'être là-bas, nous resterons là-bas », a-t-il martelé dans un entretien en direct sur la chaîne Al-Mayadeen sise à Beyrouth. La prise de parole de M. Nasrallah intervient une semaine après que Moscou, grand allié de Bachar Al-Assad, a annoncé qu'elle allait retirer l'essentiel de son contingent militaire dans le pays. « Que les Russes partent ou restent, et je vous dis même plus, si les Iraniens partent ou restent, (...) notre destin, nous le Hezbollah, et celui de nos frères syriens est le même et indivisible », a fait valoir le responsable. Le mouvement chiite a envoyé des milliers de combattants depuis 2013 pour venir en aide au pouvoir de Damas face aux rebelles et djihadistes, arguant dès le départ qu'il mène une guerre préventive pour écarter la menace terroriste du Liban. «Nous voulons une solution politique» Des pourparlers de paix sont en cours depuis le 14 mars à Genève entre le régime et l'opposition syrienne pour tenter de trouver une issue à une guerre qui a fait plus de 270 000 morts depuis 2011. « Nous sommes capables d'envoyer davantage de forces en Syrie. Mais nous n'avons pas la mentalité de ceux qui veulent une solution militaire. Nous voulons une solution politique », a fait savoir M. Nasrallah. Le Hezbollah, dont le rôle aux côtés de l'armée a été crucial, est la bête noire de la rébellion et du soutien de cette dernière, l'Arabie saoudite. Au début mars, les six monarchies du conseil de coopération du Golfe, dont le Koweït et Bahreïn, ont pris la décision de classer la formation − qu'elles accusent de servir de tête de pont à l'Iran − comme organisation « terroriste ». Les autorités koweïtiennes ont expulsé onze ressortissants libanais et trois Irakiens pour liens avec le Hezbollah chiite, a rapporté lundi un journal local. Bahreïn avait annoncé le 14 mars l'expulsion de Libanais pour « appartenance ou soutien au Hezbollah », sans préciser leur nombre.

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