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Le commerce, en quête d'un marché
Publié dans La Nouvelle République le 07 - 01 - 2017

A l'exception de quelques uns désignés à tort par «couverts» qui restent des espaces «non conformes» car tous désignés à recevoir de grands aménagements pour le devenir, tous les autres marchés et souks de la ville se tiennent dans des endroits qui ne répondent nullement à leurs activités. Si le marché de gros vient à peine de livrer son infrastructure et d'y être domicilié confortablement à Sidi Ali Labhar, à l'inverse et pour une ville côtière, il n'existe pas encore de pêcherie digne de ce nom. Il n'y a pas également une zone commerçante, propre aux grossistes alimentaires.
Tout, se vend pêle mêle, en ruelles, en cités, en quartiers...et, à différents endroits voués à l'habitation, à la circulation routière...et voire même au sport. Un marché se tient depuis sa délocalisation de la place Ifri, dans le stade scolaire, situation qui persiste à ce jour ! La placette promise à un projet d'envergure tarde à se dessiner, pendant que l'attente se fait longue aussi bien pour les commerçants que les hands balleurs. Le marché d'Ihaddadène construit au cœur da la cité, n'a jamais fait le plein, notamment en son niveau supérieur, dont les locaux ne trouvent pas preneurs. De même, celui de la haute ville, ayant siège sous le « café cyntra» à des étals à moitié vides..., ou le marché «Phillipe» véritable carrefour d'antan une fois bâti en dur et mis à niveau, est fui de sa clientèle, se vide également de ses vendeurs ! Certes, les souks, restent des destinations préférés, en raison même des avantages intrinsèques qu'ils offrent sur le double plan de la qualité des marchandises, que celui des prix plus abordables... ne faut-il pas à cet effet redéployer tous les marchés de la ville, les organiser, et les adapter en fonction des besoins des citoyens. Cela est possible, c'est toute cette ville qui gagnerait à faire cette mue. Toutes les daïras disposent en leur sein, d'enceintes réservées aux marchés. Oued Ghir, Aokas, Sidi Aïch, Kherrata... seule Béjaïa ville, se distingue encore par cette déficience, qu'elle n'arrive pas à combler. Le marché Edimco, se tient deux fois par semaine, le lundi et jeudi, il occupe une voie latérale allant du boulevard Krim Belkacem, débouchant sur la route de l'université. Celui de Sidi Ahmed, s'emplit le mercredi, consacre toute la partie supérieure de la cité, il fait à la fois fonctions concomitantes, de lieu de vente et de circulation automobiles. Idem, pour celui de Sidi Ouali, qui va de la mosquée et s'étale jusqu'aux bâtiments. Une voie étroite à double sens, qui est difficile à parcourir, tous les mardis que Dieu fait. En plus des désagréments dues aux difficultés de la circulation, les lieux ne sont restitués que tardivement, en fin d'après à la circulation et balayés des détritus abandonnés par les vendeurs. A la cité Remla, où se côtoient du reste très difficilement, des habitations et des grossistes alimentaire, la situation est davantage pénible. Un lieu résidentiel, envahi par une multitude de nuisances, maintes fois dénoncées par les riverains et non contestées par les commerçants qui reconnaissent le bien-fondé de la plainte, mais qui avouent, ne pas avoir, où transférer leurs commerces. L'autre phénomène intervient à l'occasion de l'Aïd El-Adha, où plusieurs espaces dans la zone d'activité sont transformés en souks de bestiaux. Une situation, qui en plus d'altérer tout l'environnement de cette belle cité, ne lui permet pas de se mettre à niveau et réglementer ses espaces en fonction et les prédestiner à leurs activités appropriées. Le marché de la ville, gagnerait à être redéployé en poissonnerie, celui d'El-Khemis à être relooké, quant à tous les autres et en attendant de les délocaliser, il faut les règlementer.

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