Comme prévu, lors de son inauguration le premier jour du mois sacré de Ramadhan, la mosquée Salah Eddine a accueilli ses fidèles lors de son inauguration par une forte délégation à sa tête le wali Bouguerra Ali. L'un des plus vieux projet lancé depuis plus d'un demi siècle de l'ancienne église avec la dépense de dizaines de milliards est enfin achevé suite à des travaux accélérés par une entreprise locale. En effet, la mosquée Salah Eddine El-Ayoubi, un imposant édifice religieux implanté en plein centre de la capitale des rostomides, est en chantier depuis la fin des années soixante-dix. Lors de la visite au mois de décembre, les instructions de Monsieur le wali de Tiaret ont été retenues et le délai respecté, a-ton indiqué lors d'un point de presse tenu avec les représentants des différents organes. Selon le conférencier, pour le concours des architectes, seuls deux postulants se sont présentés pour le projet, et le choix a été validé par une commission d'experts du domaine dont le jeune Benasla Belkacem a été retenu pour l'étude de l'achèvement de la mosquée. Une énième enveloppe financière a été allouée pour mener à terme les travaux de ce méga-chantier, occupant le centre de la ville de Tiaret. Selon l'orateur, ce lieu de culte qui aura son statut, a repris les travaux par une main-d'oeuvre qualifiée et par un bureau d'étude chargé du suivi par des hommes expérimentés, dont l'étude a été fixée à 4 mois. En effet, la mosquée Salah Eddine El-Ayoubi, un imposant édifice religieux implanté en plein centre de la capitale des rostomides, est en chantier depuis la fin des années soixante-dix, financé à maintes reprise par l'Etat et les bienfaiteurs, sans compter l'intervention d'une panoplie d'associations locales, sans connaître le vrai statut religieux, ont mené le projet au fond du gouffre. «La mosquée et l'une de mes priorités depuis mon installation à la tête de la wilaya, son inauguration a connu une série d'accompagnement, de la salle des conférences aux trois salles de prière, à l'école coranique comme des insuffisances liées à l'acoustique, les issues de secours, le parking, ou encore, l'aménagement extérieur de la mosquée d'une architecture moderne, a déclaré la wali de Tiaret en marge de la prière du premier vendredi de ce mois sacré. Au même volet, la visite a conduit la délégation à la nouvelle mosquée de Hai EPLF réalisée par un entrepreneur et les bienfaiteurs du quartier, un joyau architectural et Aïn Bouchekif a connu le même sort. A Tiaret et les alentours de ce lieu culte, les autorités ont réussi de récupérer un terrain abandonné pour le transformer en stade aux amoureux du Basket-ball. Pour les arcades de la mosquée, une grande partie occupée quotidiennement par les chômeurs de luxe qui assurent la vente des objets, portables et autres. Pour la bâtisse de l'ex-annexe de la commune (AFCOT), un autre projet connaîtra des locaux commerciaux, un espace vert et un parking, selon Ali Bouguerra. Il faut aussi signaler que des projets à l'arrêt depuis des lustres à l'image du marché, le siège de l'ONM et autres ont connu une opération de réhabilitation et ont été inaugurés. Cent-quatre-vingt jours, Tiaret commence à récolter ses fruits dans les différents secteurs et le bilan avancé par le wali Ali Bouguerra est édifiant et les délais fixés à chaque projet sont respectés. Des inspections, des instructions et des inaugurations. Beaucoup reste à faire.