Ces sections syndicales ont des revendications socio-professionnelles qu'ils considèrent légitimes. Il s'agit, entre autres, du non-respect de la convention collective que l'entreprise n'a pas honoré jusqu'à présent. Les responsables de ce secteur n'avaient ni la volonté de négocier et encore moins celle de conclure. Ces derniers campent toujours sur leurs positions que nous jugeons négatives et qui vont à l'encontre des intérêts des travailleur. Ils revendiquent, entre autres, la prime d'astreinte pour les receveurs, l'octroi convenablement de la PRI et de la PRC, 2e tranche, d'autres primes font partie de leurs doléances comme celles de la responsabilité et d'inventaire pour certaines catégories qui se considèrent lésées. De même que pour les allocations familiales qui n'ont pas été appliquées d'après le décret 96-298 du 06/09/1996 et notamment son article 7 Bis. Ajouter à cela, le non-octroi de certains avantages comme les promotions pour certains agents qui remplissent les critères d'après leurs carrières professionnelles. Dans un autre registre, les sections syndicales exigent le renforcement de la sécurité. Ils relèvent, d'autre part, l'état lamentable de certains bureaux de poste, mais le manque d'agents préposés en matériel pour mener à bien leurs tâches inhérentes au service public. Ils déploient également la non-association du partenaire social dans les différentes commissions conformément aux textes législatives. En dépit de toutes ces contraintes, ils croient sincèrement aux solutions objectives qui seront prises en considération par les responsables de ce secteur.