Ces derniers temps la ville de Mostaganem a connu un véritable climat d'insécurité. Au niveau de la nouvelle cité de Kharrouba un appartement a été visité en plein jour, la semaine passée, lorsqu'une famille, qui s'est absentée le temps d'un après-midi, a constaté, à son retour, que l'appartement a été complètement vidé. Les voleurs ont tout emporté avec eux. Le lendemain, c'est un citoyen qui, en se réveillant à 2 heures du matin, a remarqué la disparition de son véhicule. M.M, âgé de 35 ans, a déposé une plainte. Il faudrait signaler que ce n'est pas le premier vol qui est signalé du côté de cette cité à forte densité. D'après certains citoyens qui nous ont abordés sur place, c'est le quatrième véhicule qui disparaît. Cette situation est favorisée par le nombre important d'habitant et vu que les gens se connaissent à peine, les voleurs passent inaperçus Au niveau du centre ville on signale aussi des vols à la sauvette, des groupes de jeunes opèrent en motos et de plein jour. Certains préfèrent attendre la tombée de la nuit car les services de sécurité sont moins nombreux pour agir en toute impunité. D'après un citoyen, qui a été témoin d'une agression d'une rare violence, un groupe qui opère de nuit et dont les membres portent des cagoules, auraient agressé un citoyen au niveau de la gare routière, le mercredi soir. Il s'agit d'un jeune, âgé de 22 ans, étudiant en architecture, qui rentrait chez lui. Ce dedrnier habite le centre ville de Mostaganem. Cette agression s'est produite juste à proximité de la Banque Française « Société générale », aux environs de 20h30. Il aurait reçu plusieurs coups de couteau au niveau du ventre. Il a été évacué aux UMC de Mostaganem. Au niveau de la cité GouaichCharef (ex cité la remonte), on signale de multiples agressions en plein jour, dernièrement une femme habitant juste dans les parages a été victime d'une agression et du vol de son sac ainsi que de ces bagues, après avoir été menacée par le voleur qui l'a menacée avec son couteau et malgré sa résistance, il a quand même emporté ses biens avec lui devant la passivité des citoyens qui n'osent plus intervenir. Il est temps de réagir car les malfrats sont en train d'agir aisément.