Suite à la publication du dossier scandale sur la gestion de la commune de Mostaganem, l'actuel wali, M. Ouaddah Hocine, a convoqué l'actuel maire, M. Boukhari, pour un éventuel rapport détaillé sur l'état comateux de la gestion de l'ex -APC de Mostaganem. Enfin pour la première fois, à Mostaganem, se manifeste pour mettre un terme à l'omerta exercée depuis plusieurs années à la commune de Mostaganem et ce, suite à par « Réflexion» du dossier "La mandature 2002-2007 de l'APC de Mostaganem passée au peigne fin". Notons qu'auparavant la plupart des autorités sécuritaires ou civiles partantes ne se sont jamais inquiétées sur le sort des milliards évaporés et une gestion en désordre qui a sévi à la commune de Mostaganem depuis une décennie allant de la période des DEC jusqu'à la fin de la mandature en 2007. Si certains DEC se sont retrouvés sur le banc des accusés, les autres locataires de l'hôtel de ville qui se sont succédés n'ont jamais été soupçonnés ou questionnés sur leurs, soit par les autorités compétentes soit par leurs successeurs à travers une passation de consignes. Or, depuis cette date on apprend qu'aucune passation de consignes ne s'est faite d'une façon réglementaire entre les P/APC sortants et entrants. Ceci s'est répercuté sur la gestion de la nouvelle APC. Même si aujourd'hui l'actuelle APC est gérée par un cadre expérimenté qui a passé plus de 30 ans dans la gestion de l'ADE, il se trouve qu'il existe toujours certains élus qui ont fait même deux mandats dans la même APC. Ces mêmes élus et d'autres fonctionnaires exerçant dans différentes responsabilités, dans des services sensibles ne se gênent pas pour continuer à jouer le rôle d'acteur indispensable. Dans ce contexte il y a lieu de souligner que si certains élus ont des diplômes élevés qui sont même des cadres d'Etat n'ont pas pu se procurer une petite voiture d'occasion, des agents de l'APC roulent avec des voitures estimées même à 400 millions de centimes au moment où d'autres élus trouvent l'occasion pour se faire conventionner avec des associations étrangères pour passer les congés annuels à l'étranger sans parler de certains responsables à la commune qui possèdent des registres de commerce en bâtiment ou autres au nom de leur proches pour pratiquer le business en profitant de leur influence au sein de l'APC. À la dernière nouvelle, on apprend qu'un chef de service à la commune se trouve dans le collimateur d'une enquête pour trafic de résidences dont une requête adressée au wali et aux services de sécurité dont nous détenons une copie, ou des citoyens accusent ce chef de service de faire du commerce avec les certificats de résidence. D'autre part un agent de la commune sous couverture inconnue ne cesse de harceler sexuellement la gente féminine et prendre les dessous de table des autres agents pour régler leurs problèmes mais le plus beau quand son responsable hiérarchique l'a dénoncé, il a été dégradé et muté de son poste. L'enquête de l'incendie du bureau du service des affaires sociales n'est pas encore close et les investigations pourraient déboucher à d'autres scandales.