Tout le monde sait que les universités algériennes forment chaque année des milliers de diplômés de différentes spécialités, dont un nombre important de porteurs de doctorats et de magistères. Le marché national entendu au sens large (enseignement (...)
pas de concessions
Comment oser parler d'une «classe politique» qui n'existe en réalité que sous la forme d'une association de prédateurs de la richesse nationale?
Le peuple algérien oscille depuis le 22 février entre l'optimisme des lendemains qui (...)
L'Algérie est en crise. Cette crise politique et sociale qui se double d'interrogations inquiètes, de peurs et d'angoisses déchirantes, vient d'atteindre son point d'acmé avec les arrestations arbitraires, les auditions et le placement en détention (...)
Pourquoi ces arrestations sont opérées maintenant et non auparavant ? Si ces hommes d'affaires étaient vraiment corrompus, pourquoi la justice ne s'était-elle pas manifesté avant la date du 28 février, et disons même bien avant cette date (...)
L'Algérie traverse, à présent, une conjoncture politique ambigüe, car faite, tout à la fois, de gros espoirs de changements et de sourdes inquiétudes quant à l'avenir du pays et à sa cohésion nationale.
Par ses gigantesques manifestations de (...)
Sait-on que bon nombre d'organisations estudiantines s'efforcent d'imposer leurs lois aux campus ? Sait-on les motifs profonds pour lesquels elles s'évertuent à imposer leurs lois d'airain aux recteurs des universités ? Eléments de réponse dans (...)
Malgré le fait que certains segments de la justice comportent des magistrats franchement véreux, il est pourtant indéniable que dans l'ensemble elle ne déroge pas aux règles communes du droit et se montre impitoyable envers les auteurs des (...)
Les détournements se font, d'abord, au détriment du bien-être des étudiants dont la nourriture se trouve réduite tant en quantité qu'en qualité, et ensuite, au détriment du Trésor public qui se trouve amputé d'une partie de ses finances.
Après (...)
Les sciences sociales que d'aucuns, chez nous, méprisent ou réduisent, comme l'a fait l'ex-Premier ministre Abdelmalek Sellal, à une poésie désincarnée, sont considérées sous d'autres latitudes "civilisées" comme extrêmement utiles et (...)
La défection des jeunes à l'égard des urnes s'explique par leur défiance envers le gouvernement, auquel ils n'accordent pas une once de crédit.
Pour des milliers, voire pour des millions de jeunes Algériens en âge d'étudier ou de travailler, le vote (...)
Pour des milliers, voire pour des millions de jeunes Algériens en âge d'étudier ou de travailler, le vote est vu plus comme un marché de dupes dont les premières victimes sont les «non-pistonnés», les moins «épaulées» par les hommes placés dans les (...)
Les buts déclarés de l'action caritative des uns et des autres ne sont pas toujours "nobles", ou complètement dénués d'arrière-pensées "mercantiles". Le Pr Rouadjia nous livre une analyse historico-sociologique du phénomène dans notre pays.
La (...)
L'Etat algérien a consenti depuis l'indépendance d'immenses investissements en faveur de l'éducation et de la recherche scientifique. Ces efforts louables ne devraient en aucune manière être occultés ou minimisés sous prétexte que les résultats (...)
L'université algérienne va de plus en plus mal et cumule année après année quantité de problèmes graves dont les plus saillants, les plus visibles à l'œil nu, sont les conduites inciviles qui se muent le plus souvent en violence tant verbales que (...)
Professeur d'histoire et de sociologie politique
L'université algérienne va de plus en plus mal, et cumule année après année, quantité de problèmes graves dont les plus saillants, les plus visibles à l'œil nu, sont les conduites inciviles qui se (...)
L'Algérie n'est pas seulement le pays des contrastes géographiques et naturels violents; il est aussi le pays de tous les paradoxes de la terre. C'est, en somme, le monde à l'envers et rien ne se trouve à l'endroit: la secrétaire, quelquefois (...)
L'Etat algérien a, depuis toujours, accordé une grande importance à la recherche scientifique, et les gouvernements qui se sont succédé depuis l'indépendance n'ont pas ménagé leurs efforts pour ancrer le pays dans la modernité politique via le (...)
professeur d'histoire et de sociologie politique, université de Msila
Ces tâches auxquelles il va devoir s'affronter sont d'autant plus lourdes à gérer qu'elles résultent d'un cumul de problèmes et de disfonctionnement pédagogique de plusieurs (...)
Professeur, Université de Msila
La population de Ghardaïa, toutes « ethnies » confondues-ibadites et Chaâmbis confondus-, souffre depuis de longues années de violences quasi quotidiennes et met les nerfs des forces de sécurité nationales dépêchées (...)
Produit de quatorze contributeurs de différentes spécialités en sciences sociales et humaines, cet ouvrage porte, comme son titre l'annonce d'emblée, sur les mouvements migratoires au cours des 150 ans écoulées, et surtout sur la répression et les (...)
Université de Msila
Mémoires, Histoire des Déplacements forcés
Héritages et legs (XIXe – XXIe siècles)
Textes réunis par
Mélica Ouennoughi
Editions l'Harmattan, Paris, 2014
406 pages dont 12 documents photos
Produit de quatorze contributeurs de (...)
Université de Msila
Faut-il la condamner ou la soutenir ? Avant d'y répondre, il convient de noter d'emblée que les motifs pour lesquels une bonne partie de la police nationale s'est révoltée ne concerne pas uniquement cette institution, mais (...)
Les juifs sionistes établissent, en effet, toujours cette équivalence qui brouille les pistes et les perspectives. Le recours systématique à cet amalgame a fini par rendre synonyme, dans le champ sémantique, les deux termes de l'équation.
En dépit (...)
Université de Msila
Les juifs sionistes établissent, en effet, toujours cette équivalence qui brouille les pistes et les perspectives. Le recours systématique à cet amalgame a fini par rendre synonyme, dans le champ sémantique, les deux termes de (...)
Université de Msila
A l'instar de Guy Mollet qui, pendant la bataille d'Alger, s'entêtait à qualifier le FLN de « bandes de terroristes », et l'Algérie de « département français », François Hollande s'obstine aujourd'hui à faire croire que le Hamas (...)