Les martyrs n'ont pas affronté la mort pour rien, mais bien pour la récupération et l'indépendance de leur patrie. C'est cela le but suprême de leur action. Mais, paradoxalement, c'est d'abord un investissement, humain personnel : chacun est mort (...)
Les martyrs n'ont pas affronté la mort pour rien, mais bien pour la récupération et l'indépendance de leur patrie. C'est cela le but suprême de leur action. Mais, paradoxalement, c'est d'abord un investissement, humain personnel : chacun est mort (...)
Les martyrs n'ont pas affronté la mort pour rien, mais bien pour la récupération et l'indépendance de leur patrie. C'est cela le but suprême de leur action. Mais, paradoxalement, c'est d'abord un investissement, humain personnel : chacun est mort (...)
Les martyrs n'ont pas affronté la mort pour rien, mais bien pour la récupération et l'indépendance de leur patrie. C'est cela le but suprême de leur action. Mais, paradoxalement, c'est d'abord un investissement, humain personnel : chacun est mort (...)
Le général de Gaulle avait programmé en juin 1958 la mise au pouvoir d'Ahmed Ben Bella dans les quatre ans à venir avec l'espoir de conserver 70% du pétrole et d'avoir la mainmise sur le Sahara. C'est ce qu'a révélé dans une émission de radio Jean (...)
Le général de Gaulle avait programmé en juin 1958, la mise au pouvoir d'Ahmed Ben Bella dans les quatre ans à venir avec l'espoir de conserver 70% du pétrole et d'avoir la main-mise sur le Sahara. C'est ce qu'a révélé dans une émission de radio, (...)
Le général de Gaulle avait programmé en juin 1958, la mise au pouvoir d'Ahmed Ben Bella dans les quatre ans à venir avec l'espoir de conserver 70% du pétrole et d'avoir la main-mise sur le Sahara. C'est ce qu'a révélé dans une émission de radio, (...)
Le général de Gaulle avait programmé en juin 1958, la mise au pouvoir d'Ahmed Ben Bella dans les quatre ans à venir avec l'espoir de conserver 70% du pétrole et d'avoir la main-mise sur le Sahara. C'est ce qu'a révélé dans une émission de radio, (...)
Ayant survécu à un attentat contre le ministre André Malraux le 7 février 1962 et à la suite duquel, grièvement blessée, j'ai perdu la vue, je serais non pas une victime mais une «bavure», selon une confidence récente d'un vieil activiste – pas du (...)
N?est-ce pas cela qu?il faut aujourd?hui r?parer? N?est-ce pas de l?, et de cela, que peut na?tre l?irr?parable? Il faut r?parer afin que plus jamais Fran?ais et Alg?riens ne s?entretuent. Cela s??tant d?j? produit, cela peut encore se reproduire si (...)
Entre la France et l?Alg?rie, ce n?est pas de trait? d?amiti? qu?il faut parler pour le moment, mais bel et bien de r?conciliation entre toutes les victimes civiles de la guerre d?Alg?rie.
Avant de parler d?amiti? il faut proc?der, en France, ? la (...)