Triste 30 août qui marque la date du 50e anniversaire de l'assassinat du poète Jean Sénac, alias Yahia Al Wahrani. Poète au verbe magique et poète inspiré, ses deux émissions à la radio: Le poète dans la cité puis Poésie sur tous les fronts, avant (...)
Quand je pense à l'homme qui vient de nous quitter, le premier mot qui me vient en tête est celui de grandeur. Il était grand. Par la taille et par la conduite. Jamais petit, jamais bas, jamais méprisant envers les petits. Il avait le regard haut, (...)
Par : Abdelaziz GRINE
JURISTE, AUTEUR ET CONSULTANT EN DROIT DU TRAVAIL
Une nouvelle génération de potentiels électeurs qui, nourris d'abord aux informations émises par les chaînes de télévisions internationales et ensuite par les réseaux sociaux, (...)
Par :Abdelaziz Grine
Juriste, auteur et consultant en droit du travail
Dans la religion musulmane, il n'est prescrit ni par le Coran ni par la Sunna que le vendredi, ou d'ailleurs un autre jour, soit destiné au repos. Il est seulement commandé aux (...)
Neuf athlètes algériens, dont une équipe junior garçons ont été sélectionnés pour participer aux championnats du monde de cross-country, prévus le 30 mars courant à Aarhus, au Danemark. En effet, conformément à la décision du bureau fédéral qui (...)
La chronique qui va suivre a été écrite par le ministre de la Communication, du vivant du regretté Noureddine Nait Mazi. Hamid Grine était chroniqueur au quotidien Liberté.
Noureddine Nait Mazi est l'un des derniers mythes vivants de la presse. (...)
J'ai connu Youssef Koribaa à la mini-Coupe d'Afrique qui s'est tenue à Dakar en février 1991. Koribaa était ambassadeur et si je ne l'ai pas oublié jusqu'à ce jour, c'est parce qu'il était un diplomate à part, je veux dire différent, je veux dire (...)
À l'invitation de Oasis Littéraire, l'écrivain Hamid Grine animera une rencontre littéraire aujourd'hui 26 avril 2014 à 14h, au Musée des beaux-arts, El-Hamma, Alger.
PALAIS DE LA CULTURE MOUFDIZAKARIA (KOUBA, ALGER)
Jusqu'au 30 avril : journées de (...)
Quelques amis de fac, comme Mehdi Ourabia, avec qui j'ai partagé les belles années de sociologie en compagnie des Tarek, Abdelhak, Hsina, Mansour m'ont fait amicalement le reproche de ne pas avoir encore parlé d'un vieux camarade de promotion, Sadek (...)
Il est venu chaussé de ses gros sabots. Pour tout casser, tout rebâtir rapidement. Les grands malades se sont redressés sur leurs lits d'infortune. Et même les moribonds ont suspendu leur dernier souffle. L'homme-providence est enfin arrivé. (...)
Par ces temps d'élection à l'Algérienne, il n'est pas inutile de rappeler la grande figure de John- Fitzgerald Kennedy qui fut le premier président élu grâce ou en partie à la communication. Sa jeunesse, son charme, sa vitalité furent exploités (...)
Paris, place de la Bourse, il y a quatre ans. J'étais attablé dans un café en attendant l'heure du rendez-vous avec Jean Daniel, patron du Nouvel Observateur situé juste en face. J'entends des voix hautes derrière moi, des voix avec un fort accent (...)
Quand je l'ai connu dans sa bonne librairie Média Plus de Constantine, il avait alors cette énorme moustache frémissante qui lui barrait tout le visage en lui donnant un air sévère. Il parle, et on devine tout de suite qu'il est sorti d'un livre de (...)
Par ces temps de passion qu'exacerbe la présidentielle où des têtes d'épingles épinglent d'honnêtes gens pour le toxique plaisir de marquer leur présence, je pense d'abord à Casanova, le subtil. Mme de Pompadour, favorite du roi Louis XV, le croise (...)
À l'heure des grèves, j'ai deux histoires à raconter sur les enseignants. Elles sont si drôles que j'en ai ri jaune. La première : ma fille avait 11 ans, elle rentre un jour avec une joue rouge portant les traces des doigts de son enseignante. Je (...)
L'homme était sexagénaire. Et il voulait me voir d'urgence. Toute affaire cessante. J'étais pris la journée. Pas de problème, il me verra la nuit, à minuit s'il le fallait ou même à l'aube. Il avait le débit pressé et stressé lui qui habituellement (...)
Hachemi Larabi. Son nom ne vous dit peut-être rien. Je pense d'ailleurs qu'il n'a rien à cirer de la notoriété. Ce qui lui importe, c'est la belle vie qu'il a eu et qu'il raconte avec jouissance et truculence dans des mémoires intitulées Chronique (...)
Le meilleur témoin d'un homme politique de premier plan décédé n'est ni son épouse et ses enfants trop subjectifs ni ses collaborateurs trop hagiographiques. Encore moins ses adversaires qui le diabolisent. Qui alors ? Ses subalternes au plus bas de (...)
De tous les grands joueurs algériens que j'ai connus, il est assurément l'un des plus droits et des plus courageux. À l'époque où un ministre était au-dessus du commun des mortels, Assad ne répugnait pas, publiquement, à dire son fait au ministre. (...)
Je ne voulais pas écrire sur les tumultes du couple François-Valérie. Quoi dire sur un couple qui se délite ? Mais quand j'ai lu la lettre ouverte de Tahar Benjelloun dédiée à son amie Valérie, un panégyrique, où il la présente en pauvre victime, (...)
On me reproche souvent de ne pas assez parler de femmes. Je le concède. Mais quand je tombe sur une femme de qualité, je ne la rate pas. J'en ai une : une exceptionnelle qui n'est point une exception. Une méconnue. Comme des milliers d'héroïnes, car (...)
L'Algérie, pardon les Algériens, pardon les décideurs algériens ne savent pas reconnaître ceux qui aiment le pays et lui donnent ce qu'ils peuvent en le défendant bec et ongles, de ceux, très nombreux, qui en profitent. Dans une société de (...)
Nous allons terminer l'année en beauté. Dans la bonne humeur et le rire. Faisons le portrait de Hollande. C'est le président le plus drôle que la France ait connu. Et le plus sympathique, avec Chirac évidemment. Les autres ? De Gaulle ? Trop (...)
C'est un taxieur parisien. Il a une bonne bouille de maghrébin, des pommettes saillantes, le cheveu frisé et le regard doux, presque résigné.
On commence à parler. Il a l'accent du bled à couper au couteau. Il me dit : "Vous êtes Algérien ?" Je (...)
S'il y a un pays que j'étais curieux de voir, c'était bien l'Afrique du Sud. Trois raisons à cela. La première coule de source : je voulais humer le même air que le légendaire Mandela. J'aime me frotter aux géants. On y gagne toujours quelques (...)