« (...) J'aime rire, mais je suis profondément sérieuse, je ne veux pas que le tragique qui côtoie le comique de la vie me muselle, parce que j'aime par-dessus tout la liberté. Et savez-vous le moment de ma vie où j'ai été le plus libre ? Eh bien, (...)
Je la croisais parfois chez Pierre et Claudine Chaulet, à l'époque où nous préparions l'édition de leurs mémoires. Eveline Safir Lavalette venait alors de sa montagne, de là-bas, tout là-haut, Médéa, là où elle habitait depuis toujours, aurait-on (...)