Résumé de la 8e partie - je savais que si je perdais mon tour, c'en serait fini de la queue, et de moi-même.
J'ai regardé mon article. Il était aussi mort que moi. Il ne cancanait même pas. Après tout, en heurtant ce corbillard, j'étais moi-même (...)
Résumé de la 7e partie - Je n'avais plus une minute pour me souvenir de mon décès. Il me fallait choisir mon symbole.
Mais je savais que si je perdais mon tour, c'en serait fini de la queue, et de moi-même. Je n'aurais aucune chance de toiser les (...)
Résumé de la 6e partie - Comment donc pouvais-je choisir, si je ne savais pas comment j'étais morte ?
La légende indiquait : «Déjà une demi-heure de retard. Elle ne sera jamais de retour en ville à l'heure.»
J'ai contemplé la photo de cette route de (...)
Résumé de la 5e partie - Arrivée à la page 44, j'ai failli m'effondrer dans le caddie qui était derrière moi.
Un jeu palpitant à en mourir ! Donnez simplement la bonne réponse en passant à la caisse, et vous partez tranquille, sans payer.» (...)
Résumé de la 4e partie - Je n'étais pas près d'y arriver, sauf si de longues souffrances constituaient le critère d'entrée au paradis.
Certains auraient pu me guetter dehors et... Non, je n'avais certainement pas été assassinée là-bas au (...)
Résumé de la 3e partie - L'aéroport, c'est dur, mais ce n'est rien, comparé au vrai purgatoire que sont les autoroutes de Californie.
C'était comme d'avoir un bavard derrière soi dans la queue — l'une de ces personnes à la cordialité exaspérante, (...)
Résumé de la 2e partie - Je n'allais pas gaspiller mon temps à chercher comment j'étais morte. Quand on est morte, on est morte.
Mais non — aussi peu rationnels qu'aient été les autres voyageurs, ils n'auraient pas pris le risque de manquer leur (...)
Résumé de la 1re partie n Je m'étais intéressée à un certain nombre de théologies d'un point de vue purement intellectuel.
Je me demandais sans cesse ce que pensaient les gens derrière moi. Je parie : qu'ils m'auraient volontiers tuée.
Tuée ? (...)
Il n'est personne qui n'ait sa propre idée de l'au-delà. Certains y réfléchissent plus que d'autres, bien entendu. Mais je parie que, pour la plupart, vous êtes comme moi : vous y pensez le moins souvent possible, et jamais comme à une réalité. (...)